En effet, réunie mercredi matin à l’annexe du parlement, la cellule de crise a décidé de poursuivre le travail avec les mesures exceptionnelles. Et ce afin de garantir la continuité de l’action parlementaire.
La cellule de crise est composée des membres du bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), des présidents des blocs parlementaires. Ainsi que du président de la commission de la santé et des affaires sociales. Ses décisions sont adoptées à la majorité des deux tiers des députés présents.
Le bureau du parlement a axé ses débats sur un rapport concernant la poursuite de l’adoption des mesures exceptionnelles. Et ce, pour garantir la continuité du travail du parlement. Le document est signé par l’Observatoire national des maladies nouvelles et émergentes, le président de l’instance générale des intérêts communs de l’ARP. Ainsi que le médecin du parlement.
En effet, le rapport recommande de poursuivre le travail en adoptant les mesures exceptionnelles. Et ce, de manière à s’adapter au degré de gravité de la situation épidémiologique. Et de garantir la sécurité de ceux qui fréquentent le parlement. Ainsi que d’assurer la continuité de l’action parlementaire.
Les mesures exceptionnelles annoncées en octobre pour garantir la continuité des activités de l’ARP avaient fait l’objet d’une polémique au sein du parlement. Elles avaient été rejetées par nombre de députés. Notamment le bloc démocratique qui a estimé que ces mesures sont illégales. Ce qui vise à mettre l’institution législative sous le contrôle de la coalition du parlement.
Avec TAP