Les agents et cadres de la Présidence du gouvernement et des établissements qui en relèvent observent les 3 et 4 mars une grève présentielle. Ils réclament l’application des décisions contenus dans les comptes rendus des réunions tenues. Et ce, depuis 2018, entre la partie syndicale et l’administration.
Cette grève présentielle intervient essentiellement pour réclamer le droit aux négociations et le droit à l’action syndicale, stipulé dans la Constitution, explique Aymen Dimassi, secrétaire général du syndicat de base des agents et cadres de la présidence du gouvernement.
Par ailleurs, trois syndicats observent la grève en question. Ces syndicats représentent le personnel de cette institution. En cas de non-satisfaction de nos revendications “légitimes”, les syndicats prévoient d’autres actions. C’est ce qu’a déclaré Aymen Dimassi.
En effet, ils demandent d’entreprendre, sans plus tarder, les réformes qui s’imposent, dont la mise à niveau des organes de contrôle de la présidence du gouvernement pour optimiser la lutte contre la corruption.
Avec TAP