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En lisant: La mise à l’épreuve de la classe politique tunisienne
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Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Chroniques > La mise à l’épreuve de la classe politique tunisienne
ChroniquesOpinions & Débat

La mise à l’épreuve de la classe politique tunisienne

Khalifa Chater
2016/08/01 at 8:28 AM
par Khalifa Chater 4 Min Lecture
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Comment définir la journée parlementaire du 30 juillet 2016? Quels étaient ses enjeux ? Quelles mouvances politiques traduirait-elle ? Une ‘‘journée de dupes’’, diraient certains,  tentant d’expliciter le jeu politique public et underground ? Disons plutôt une sérieuse mise à l’épreuve.

Le parlement n’a pas renouvelé sa confiance au gouvernement, à une écrasante majorité : 3 voix pour, 27 abstentions  et 118 voix contre. Le chef du gouvernement aurait raté sa sortie !  La situation est bien plus complexe. Le chef du gouvernement a eu raison d’opter pour un départ officiel, suite à une présentation de son inventaire devant les assises qui l’ont porté au pouvoir.

D’ailleurs, le rejet de confiance concerne l’ensemble du gouvernement, donc la coalition quadripartite au pouvoir (Nidaa Tounes, Ennahdha, Afek Tounes et Al-Watani Al-Hor). Notons que les élus du Front Populaire  et du Bloc Social Démocrate n’ont pas participé au vote, rappelant leur opposition au gouvernement, lors de sa formation.

Étrange situation, les partis de la coalition ont voté contre la gouvernance collective, constituée de leurs représentants, disposés d’ailleurs à revenir au pouvoir, après le remaniement. Fuite en avant, ces partis n’ont pas ménagé leurs critiques au gouvernement, essentiellement sa gestion socioéconomique, exercée par les ministres membres de leurs partis. Fait d’évidence, la conjoncture actuelle  semble remettre en cause dans les faits la nature plutôt  parlementaire, vu l’attachement traditionnel des Tunisiens à l’instance présidentielle, que la gestion actuelle a d’ailleurs confirmée et confortée.

La conjoncture était certes difficile. La laborieuse gestion gouvernementale n’a pas répondu aux attentes. Le pouvait-elle dans ce contexte d’insécurité et de récession évidente ? Les dossiers en attente sont graves et complexes : endettement, blocage du développement, paralysie de la production de phosphate, déclin catastrophique du tourisme. Leur traitement pourrait contribuer à réduire le chômage, à atténuer la précarité et améliorer le pouvoir d’achat. Mais le gouvernement n’a pas de solution miracle susceptible de répondre, dans les meilleurs délais, au défi. D’ailleurs, la feuille de route, mise au point par les partis ayant soutenu l’initiative présidentielle relative au gouvernement d’union nationale, ne définit pas ses moyens d’action et sa stratégie de développement.

L’étude de l’opinion publique tunisienne, fût-elle sommaire !,  semble annoncer, après cinq ans depuis la révolution, la perte de confiance en la politique. Les Tunisiens, paraît-il,  ne voient pas d’issue à leur malaise et à la crise de société en cours. Ils souhaitent une alternative crédible. Gouverner, c’est choisir et agir sur le réel. Pour l’heure, les offres politiques convergentes peuvent difficilement déboucher sur une offre politique organisée, au-delà des clivages politiques.

Le choix du président du gouvernement est essentiel, pour ouvrir les horizons. D’autre part, cette mise à l’épreuve rappelle la nécessité d’assurer la participation au gouvernement d’experts confirmés, en gestion économique et de mobiliser la coalition  à former, pour défendre les grandes réformes nécessaires. De ce point de vue, la concertation avec l’UGTT et l’union patronale permettrait de bénéficier de leur appui.

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MARQUÉE: classe politique, coalition, gouvernement, Habib Essid, Opinion publique, Partis politiques
Khalifa Chater 1 août 2016
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