Les dictats provenant de l’étranger qui aboutissent à plus d’appauvrissement sont inadmissibles. C’est ainsi que le président de la République Kaïs Saïed a répondu à une question portant que les négociations entre la Tunisie et le Fonds monétaire international (FMI).
Présent à Monastir pour la commémoration du décès du premier président de la République Habib Bourguiba, Kaïs Saïed affirme que l’alternative est donc dans nos propres moyens. “L’alternative est de compter sur nous-mêmes”, précise-t-il. Pour lui, la paix sociale n’est pas une mince affaire. Quant à la question de la caisse de compensation, il a estimé qu’il existe d’autres pistes de réforme.
Répondant à une autre question qui porte sur le Dialogue national, le président de la République affirme qu’il n’existe pas de besoin alors que l’Assemblée des représentants du peuple est fonctionnelle. “Le dialogue national se déroule sous la voûte du parlement où les lois se discutent”.
Sans préciser de qui il s’agit, le président de la République affirme que “certains ont atteint le pire âge et complotent encore contre la Tunisie […] la Tunisie n’est pas à vendre”.