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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Conjoncture > Mohsen Hassen : choisir entre l’endettement ou les augmentations
ConjonctureEconomie

Mohsen Hassen : choisir entre l’endettement ou les augmentations

L'Economiste Maghrébin
2018/01/08 at 4:10 PM
par L'Economiste Maghrébin 5 Min Lecture
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Pour Mohsen Hassen, chargé du dossier économique au sein de Nidaa Tounes, le recours, dans la LF 2018, aux augmentations de la TVA et des impôts évitera au pays de devoir se rabattre à nouveau sur l’endettement extérieur.

Interpellé sur la loi de finances 2018, Mohsen Hassen a fait savoir qu’il n’est pas logique que des partis politiques qui ont voté favorablement pour la loi de finances 2018, appellent les Tunisiens à descendre  dans la rue et à manifester contre ladite loi.

L’économiste a indiqué que la LF 2018 entrainera la chute du pouvoir d’achat des Tunisiens. Il a rappelé qu’elle a été votée dans une conjoncture marquée par un grand déficit budgétaire (6,1% en 2017) dont 80% sont financés par l’endettement.

Et d’expliquer que le choix a été fait pour l’augmentation des recettes fiscales et non fiscales de l’Etat et la minimisation du recours à l’endettement. Pour lui, il s’agit d’un sacrifice partagé entre toutes les classes sociales en 2018, et entre fonctionnaires et entreprises: «Je crois que ce sacrifice portera ses fruits au niveau de la réduction du recours à l’endettement», avance-t-il.

Le chargé du dossier économique au sein du mouvement de Nidaa Tounes n’a pas caché son inquiétude quant aux indicateurs économiques, à l’instar du faible taux de croissance de 2% réalisé en 2017, malgré l’amélioration par rapport à 2016 et le chômage qui a atteint 15,5% et qui s’aggrave pour des raisons démographiques.

Le déficit budgétaire ne cesse de s’aggraver, regrette l’ancien ministre du Commerce, tout en rappelant qu’il a atteint 6,1% du PIB. Pour les premiers dix mois de 2017, le déficit budgétaire était passé de 3798 MD à 4420 MD, rappelle-t-il.

De même, l’économiste a indiqué que les réserves de change plonge à 90 jours d’importation.  « Les sources de devises sont en chute et le déficit courant atteint 10% du PIB, ce qui est un indicateur alarmant, car il peut engendrer plus d’inflation, aggraver la détérioration du pouvoir d’achat des Tunisiens et, par ricochet, provoquer la chute de la compétitivité des entreprises »,  dit-il.

Mohsen Hassen explique la nouvelle relation entre Nidaa et Ennahdha

Pour toutes ces raisons, Mohsen Hassen considère qu’une politique de sauvetage économique doit être mise en place. Le sauvetage de l’économie nationale ne pourra se faire qu’à travers un dialogue économique et national dans le cadre de l’Accord de Carthage pour fixer les mesures à prendre sur la base d’un diagnostic unanime des partis politiques et des organisation nationales. De même, il faut fixer les priorités à court et à long terme.

Interpellé sur l’avenir de la relation entre Nidaa Tounes et le mouvement Ennahdha, l’économiste a rappelé que les résultats des élections de 2014 ne permettent ni à Nidaa Tounes ni au mouvement Ennahdha de gouverner en solo. C’est la raison pour laquelle les deux partis politiques sont dans l’obligation de coopérer ensemble que ce soit au sein de l’Assemblée des représentants du peuple que dans le cadre de l’Accord de Carthage et sur d’autres sujets. Il a indiqué qu’il n’y aura pas davantage de coordination entre Nidaa, Ennahdha et l’UPL. « La coordination ne dépassera pas le cadre de l’accord de Carthage et le travail en commun entre les deux blocs parlementaires, » dit-il.

Après les élections législatives partielles en Allemagne les leaders de Nidaa ont choisi de revoir les orientations du parti et suite à plusieurs réunions, dont la dernière a eu lieu samedi dernier, il a été décidé de limiter la coordination avec le mouvement Ennahdha au niveau de l’Accord de Carthage et l’ARP, précise-t-il.

«Je crois que la décision aura des retombées positives que ce soit sur Nidaa Tounes ou sur le mouvement Ennahdha, car il faut avouer que la proximité entre les deux partis nous a fait perdre une grande partie de notre base électorale. Même chose pour le mouvement Ennahdha. Mais cela ne veut pas dire la fin du gouvernement d’union nationale», indique-t-il.
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MARQUÉE: Endettement, Ennahdha, Finances, loi de finances 2018, Mohsen Hassen, Nidaa Tounes
L'Economiste Maghrébin 8 janvier 2018
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