Douze (12) nouveaux ministres et deux (2) ministres délégués figurent dans le nouveau gouvernement du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dont la composition a été officiellement rendue publique lundi par la Présidence de la République algérienne et publiée par l’agence Algérie Presse Service (APS).
Il s’agit de Mohamed Djellab (ex-PDG de la banque CPA, ministre délégué chargé du Budget), nommé ministre des Finances, Abdessalem Bouchouareb (directeur de communication de la campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, ancien ministre de l’Industrie et de la Restructuration, 1996), ministre de l’Industrie et des Mines, Tayeb Zitouni (fils de Chahid), ministre des Moudjahidine, Mohamed Aïssa (cadre au ministère des Affaires religieuses), ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Abdelkader Kadi (ex-wali), ministre des Travaux publics.
Il s’agit également de Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale, Nadia Labidi (docteur en arts du spectacle et cinéaste), ministre de la Culture, Mounia Meslem (avocate), ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Khelil Mahi (député et président de la commission des finances), ministre des Relations avec le Parlement, Abdelkader Khomri (ex-ambassadeur et ministre de la Jeunesse et des Sports), ministre de la Jeunesse, Hamid Grine (journaliste-écrivain), ministre de la Communication, Nouria Yamina Zerhouni (ex-wali), ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Hadji Baba Ammi (ex-DG du Trésor), ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé du Budget et de la Prospective, Aïcha Tagabou (la plus jeune, 35 ans), ministre déléguée auprès du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, chargée de l’Artisanat.
En revanche, douze (12) ministres ont quitté le gouvernement. Il s’agit de Karim Djoudi (ministre des Finances), Bouabdellah Ghlamallah (ministre des Affaires religieuses et des Wakfs), Mohamed Cherif Abbès (ministre des moudjahidine), Farouk Chiali (ministre des Travaux publics), Khalida Toumi (ministre de la Culture), Abdellatif Baba Ahmed (ministre de l’Education nationale), Mahmoud Khedri (ministre des Relations avec le Parlement), Souad Bendjaballah (ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme), Mustapha Benbada (ministre du Commerce), Mohamed Benmerradi (ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale), Mohamed-Amine Hadj Said (ministre du Tourisme et de l’Artisanat) et de Madjid Bouguerra (ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines).
Par contre, quatre (4) ministres ont changé de portefeuille. Il s’agit d’Abdelkader Messahel (ex-ministre de la Communication) qui revient à son ancien poste de ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Mohamed Djellab (ex-ministre délégué chargé du Budget) qui prend le ministère des Finances, Amara Benyounès (ex-ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement), nommé ministre du Commerce et de Mohamed El-Ghazi (ex-ministre délégué chargé de la Réforme du service public) qui prend le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale.
Quant à Mohamed Tahmi qui était chargé du ministère de la Jeunesse et des Sports, il s’est vu confier uniquement le secteur des Sports.
Enfin, deux ministères ont été scindés en deux portefeuilles. Il s’agit du ministère de la Jeunesse et des Sports (Jeunesse – Sports) et du ministère de l’Energie et des Mines (Energie – Industrie et Mines).
Si le gouvernement Algérien n’ouvre pas une procédure pénale contre MOHAMED EL AMINE MISSAIDE pour vol des biens de l’état dans l’exercice de si fonctions de chef de cabinie de selale chef du gouvernement et le P.D.G HAMAMOUCHE KAMELpour abus de pouvoir .corruption.faut et usage de faut detournement de fants public depuis 1999- a ce joure -va prendre la tête d’une opposition farouche, puissante et médiatisée sur le net, jusqu’au départ du pouvoir ?
Lettre ouverte à tous les hommes de bonne volonté : Notre appel vise à interpeller vos consciences aux fins de mettre de coté vos antagonismes et vos égoïsmes étroits. Vous unir pour un seul objectif, celui de constituer une force tranquille de lutte contre la dilapidation des richesses nationales ainsi que le patrimoine de notre pays, héritage des générations futures. L’Algérie arrosée du sang de ses martyrs, mérite mieux que son sort actuel. Le combat le plus noble, le plus humain et certes le plus difficile, qui vous incombe tous et qui s’impose aujourd’hui plus que jamais avec évidence est d’harmoniser vos diversités pour les rendre complémentaires et utiles dans les circonstances du moment. L’Algérie appartient à tous les Algériens, n’en déplaise aux émules de ‘‘L’Algérie de PAPA’’ et autre nostalgiques du ‘‘Paradis Perdu’’, des colons, caïds et BACHAGHAS de l’Algérie Française. Le but moral et spirituel recherché est de semer les graines de l’espoir dans le cœur de nos enfants désemparés et souvent guidés vers la violence pour se faire entendre. Et pourtant ils savent que la réalité ne les laissera pas tranquilles. Et pourtant ils persistent à ne rien faire qui puisse inverser le cours des choses. Et pourtant ils continuent sur la voie de l’idéologie la plus ringarde et la plus arriérée. Ce n’est pas parce que nous sommes le jour d’après poisson d’avril qu’il faut nous prendre pour des cloches ! Quand un pouvoir en est réduit à un tel usage de la diversion sur les grands dossiers de corruption en ce moment, la fin du règne est proche !