En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Amina Annabi revient sur le devant de la scène
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Tunisie-Canada : La science et l’académique, piliers d’un partenariat à renforcer
A ne pas manquer Nation Politique
investissement
Santé : un investissement de 358 millions de dinars pour quatre hôpitaux
A ne pas manquer Nation Société
paiements par chèques
Croissance à contre-courant : que cache la chute libre des paiements par chèque en Tunisie ?
A la une Analyses Idées
TICAD9 : Sarra Zaafrani Zenzri propose l’organisation d’un forum économique Tunisie-Japon en 2026
A ne pas manquer Nation Politique
Une réunion de travail s’est déroulée, mardi 19 aout, au gouvernorat de Gafsa pour préparer l’organisation d’une caravane médicale militaire gratuite dans la délégation de Belkhir, prévue le 7 septembre.
Gafsa : préparation de la caravane médicale militaire à Belkhir
A ne pas manquer Bien-être Santé
Mohamed Ali Nafti a également réitéré la volonté de la Tunisie de consolider les relations historiques avec le Canada et de renforcer la coopération bilatérale dans différents domaines d'intérêt commun.
Coopération Tunisie-Canada renforcée avec le nouvel ambassadeur
A ne pas manquer Nation Politique
La demande totale de gaz naturel a suivi la même tendance, avec une hausse de 10 % à 2 293 ktep-pci.
Les ressources en gaz naturel ont baissé de 9%
A ne pas manquer Energie Entreprise
Ben Ayed a salué « les excellentes relations » entre la Tunisie et la Jordanie et « la diversité des domaines de coopération » entre les deux pays.
Entretiens tuniso-jordaniens sur le partenariat et la Palestine
A ne pas manquer Nation Politique
La chute a touché la majorité des champs de production de pétrole brut, notamment Nawara (-54 %), Barka (-79 %), Ashtart (-19 %) et El Hajeb/Guebiba (-19 %).
Production nationale de pétrole en baisse de 9% à fin juin 2025 (Observatoire de l’Énergie)
A ne pas manquer Energie Entreprise
La Bourse de Tunis a clôturé en légère baisse, l’indice de référence perdant 0,1 % à 11 807,6 points, sur un volume réduit de 3,8 millions de dinars, selon Tunisie Valeurs.
Bourse : le marché termine en légère baisse (-0,1 %)
A ne pas manquer Economie Finance
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Interviews > Amina Annabi revient sur le devant de la scène
CultureInterviews

Amina Annabi revient sur le devant de la scène

Nadia Dejoui
2024/05/21 at 6:26 PM
par Nadia Dejoui 5 Min Lecture
Partager
Partager

Amina Annabi, l’interprète de «C’est le dernier qui a parlé qui a raison», ayant marqué des générations, revient sur le devant de la scène, trente ans après sa participation à l’Eurovision en 1991. Elle était de passage en Tunisie, son pays d’origine. Rencontrée lors de l’exposition (Re)born, à Tunis, elle nous raconte son parcours. Interview. 

 

Contents
Amina Annabi, l’interprète de «C’est le dernier qui a parlé qui a raison», ayant marqué des générations, revient sur le devant de la scène, trente ans après sa participation à l’Eurovision en 1991. Elle était de passage en Tunisie, son pays d’origine. Rencontrée lors de l’exposition (Re)born, à Tunis, elle nous raconte son parcours. Interview. EM: 30 ans après, qu’est devenue Amina Annabi? Qu’avez-vous fait durant ces trois décennies? Il est vrai qu’on vous a perdue de vue sur la scène musicale, quel regard portez-vous sur votre participation à l’Eurovision? Pourquoi ne vous voit-on pas assez souvent dans les médias? Et pourquoi donc? Justement, pour revenir à ce métissage, c’était plus difficile dans les années ’80-’90 que maintenant? En d’autres termes, le monde d’aujourd’hui est devenu moins tolérant qu’avant…Quelle est votre devise dans la vie?Si on vous proposait de former un duo, vous choisiriez qui?Et si c’était un artiste arabe, ce serait qui?

EM: 30 ans après, qu’est devenue Amina Annabi? Qu’avez-vous fait durant ces trois décennies? 

Amina Annabi: J’ai beaucoup voyagé. Pour commencer, j’ai fait une tournée aux Etats-Unis, puis je suis partie vivre en Suède durant onze ans. D’ailleurs, j’ai enchaîné les tournées. Et j’ai également créé deux groupes de musique. Ce qui m’a permis d’utiliser de nouveaux sons musicaux, une sorte de mélange de musiques scandinave, arabe, et jazz. D’autant plus que la Suède est connue pour ses très bons musiciens.

Et puis, j’ai décidé de retourner à Paris en 2015 où j’ai sorti un disque intitulé « La lumière de mes choix. » Aujourd’hui, on m’a un peu perdue de vue sur la scène musicale. 

Il est vrai qu’on vous a perdue de vue sur la scène musicale, quel regard portez-vous sur votre participation à l’Eurovision? 

Quand on me parle de l’Eurovision, j’ai l’impression que c’était une autre vie, car c’est tellement vieux. En fait, moi, j’oublie l’Eurovision. En revanche, les gens me le rappellent souvent. Cependant, il n’y a pas que l’Eurovision, puisque j’ai produit d’autres albums.  Mais cela n’empêche que quand vous avez un morceau de musique qui cartonne, les gens vous reconnaissent à travers ce morceau. C’est le prix à payer. Cela dit, j’espère cette fois renouer avec mon public. 

Pourquoi ne vous voit-on pas assez souvent dans les médias? 

A mon sens, les médias font ce qu’on leur demande de faire. En tout cas, actuellement, la musique arabe, on l’entend moins en France, contrairement aux autres années. 

Et pourquoi donc? 

Je pense que c’est politique, même dans le domaine de la musique. Il y a de la politique partout, et cela a toujours été ainsi. 

Justement, pour revenir à ce métissage, c’était plus difficile dans les années ’80-’90 que maintenant? 

Je pense que c’est plus difficile maintenant. Car le monde d’aujourd’hui est devenu très communautaire, beaucoup plus divisé qu’à une certaine époque. D’ailleurs, on vous colle une étiquette: soit vous êtes chanteur pour l’Eurovision, soit pour  LGBT, soit pour les Africains. Ce qui fait qu’on a moins de métissage, que ce soit à la télé ou dans les médias en général. 

En d’autres termes, le monde d’aujourd’hui est devenu moins tolérant qu’avant…

La tolérance est l’histoire des personnes. Je prends un exemple: à l’époque du président français François Mitterrand, dans les années ’80, on parlait beaucoup de métissage de cultures. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. De plus, je prends le cas des Etats-Unis ou de la Suède, nous assistons à de nouvelles sonorités comme la musique électronique, mais une belle chanson reste une belle chanson, malgré les années. Elle reste indémodable.

Cela dit, cette année, je vais venir chanter avec un Dj tunisien, Ahmed Benjemy, à Hammamet. Ce sera une nouveauté, un mélange d’électro, des envolées de voix en arabe, en espagnol, en indien. Je vous rappelle que j’ai vécu en Inde un certain moment et j’y ai appris le yoga du son. Ce qui m’a permis de développer une certaine technique de respiration. D’ailleurs, j’ai enseigné le yoga du son en Suède. De plus, ma mère était professeur de yoga, une discipline que j’ai commencée à l’âge de 12 ans.

Quelle est votre devise dans la vie?

Je n’ai pas de devise. Par contre, la liberté est importante, à mon sens. Revenir sur ce qui est essentiel pour soi. Et c’est ça, la liberté, se rencontrer et se reconnaître.

Si on vous proposait de former un duo, vous choisiriez qui?

Je choisirais Sting. Parce qu’il est sincère et il dégage beaucoup d’émotions. Plus encore, il intègre ce qu’il dit. D’autant plus qu’il est cohérent avec lui-même.

Et si c’était un artiste arabe, ce serait qui?

J’aimerais bien, mais je ne sais pas qui choisir. Il faut que je réfléchisse. Et justement, je reviendrai cet été en Tunisie pour rencontrer des artistes tunisiens.

 

MARQUÉE: Amina Annabi
Nadia Dejoui 28 mai 2022
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Dubaï entre dans le monde du Metaverse
Article suivant Le nouveau régime politique en Tunisie sera  » présidentialiste », dixit Kamel Ben Messaoud
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?