En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Budget 2018 : avant d’en parler, il faudrait établir une LF complémentaire pour 2017
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Tunisie-Égypte : Renforcement de la coordination face aux défis régionaux
A ne pas manquer Nation Politique
SNJT
Désinformation numérique : les journalistes appelés à reprendre la main
Culture Médias
Ali Nafti
Tunisie – Egypte : entretien téléphonique entre Nafti-Aaty
A ne pas manquer Nation Politique
Ahmed Gadhoum
Ahmed Gadhoum reconduit au STAB de l’UNESCO pour un mandat de quatre ans
A ne pas manquer Nation Talents
Chine - Consommation
BM – Chine : consommation, un rôle clé dans la croissance économique
A ne pas manquer Economie Economie internationale
Après caravane Soumoud, l’enfermement : l’appel choc d’un avocat
A ne pas manquer Conjoncture Economie
TUNINDEX en recul : une séance morose pour les valeurs boursières
A ne pas manquer Economie Finance
Trump
Et si Trump ne voulait plus aucun Africain aux États-Unis ?
A ne pas manquer Afrique International
L'UNOC3
Tombée de rideaux sur la 3e édition de l’UNOC : en voici les conclusions 
A ne pas manquer Economie Environnement
BVMT
BVMT : Suspension de la cotation des titres de la SITS
A ne pas manquer Economie Finance
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Conjoncture > Budget 2018 : avant d’en parler, il faudrait établir une LF complémentaire pour 2017
ConjonctureEconomie

Budget 2018 : avant d’en parler, il faudrait établir une LF complémentaire pour 2017

L'Economiste Maghrébin
2017/08/15 at 12:20 PM
par L'Economiste Maghrébin 4 Min Lecture
Partager
Partager

Hichem Ajbouni, expert-comptable, membre fondateur du Courant démocratique  (Attayar) présente sa vision du budget 2018 pour les lecteurs de leconomistemaghrebin.com

16113922_10211615115915080_65188911127994606_nPour Hichem Ajbouni, bien avant de parler du budget 2018 la situation actuelle  nécessite l’adoption d’une loi de finances complémentaire pour 2017 vu que l’hypothèse de croissance de 2,5% pour 2017, selon toute vraisemblance, ne se réalisera pas. En effet, le premier trimestre 2017 a enregistré une croissance de 0,9% par rapport au dernier trimestre de l’année 2016 tout en précisant que les indices actuels montrent bel et bien que le taux escompté de 2,5% ne sera pas atteint vers la fin de l’année.

« Comment pourrait-il en  être autrement, renchérit notre interlocuteur, alors que le gouvernement a augmenté la pression fiscale  sur les produits, d’une part,  et a imposé une contribution exceptionnelle sur les entreprises, d’autre part.  Sans parler de l’exportation, supposée être un moteur de croissance,  qui ne décolle pas ? ». D’où la nécéssité d’une LF complémentaire pour ajuster  les équilibres macro-économiques des finances publiques.

Selon l’expert-comptable, il faut bien se rendre compte que la création de richesses, soit un taux de croissance élevé, demeure la priorité pour le budget 2018 et pour cela il est nécessaire d’avoir dès le départ une vision claire,  «  sauf que nous ne disposons pas de vision claire. Nous continuons à gérer au jour le jour les finances publiques, il suffit de suivre les déclarations du ministère des Finances par intérim pour s’en apercevoir ».

Il ajoute que les gouvernements successifs ont pris plus de 500 mesures fiscales depuis 2012 essayant de colmater les brèches dans le budget avec des mesures provisoires qui manquaient totalement de vision, « ce qui n’a fait que bloquer davantage l’investissement et augmenter l’évasion fiscale », regrette-il.

Quant à la réforme fiscale, Hichem Ajbouni  considère qu’une réforme fiscale a déjà été mise en place depuis 2013 et qu’il  s’agit de la mettre à jour dans le cadre de la continuité de l’Etat.

Concernant le déficit commercial, notre interlocuteur a considéré qu’il a atteint des records historiques : « Il faut limiter les importations arbitraires et superflues, et ce, par le biais de l’établissement d’une liste, la réduction du quota des importations », propose-t-il.  Ainsi l’économie tunisienne ne crée plus de richesses et elle s’est transformée en une économie de rente et de franchise.

Sur un autre volet, il a indiqué qu’une politique ferme de lutte contre la corruption pourrait booster le taux de croissance de deux points. De même une politique de bonne gouvernance, soutient-il.

Pour le budget 2018, l’endettement sera inévitable, déclare Hichem Ajbouni. Cependant, il a recommandé une utilisation rationnelle de l’argent de la dette et a plaidé pour son orientation vers l’investissement  : «  Le crime qui a été commis contre la Tunisie depuis 2011 jusqu’à maintenant c’est celui de s’endetter non pas pour investir mais pour payer les salaires et consommer », a-t-il déploré.

Pour ce qui concerne la masse salariale en 2018, l’expert-comptable a proposé de la geler : « Afin de réduire la masse salariale, il faut augmenter le taux de croissance, pour le faire il faut inclure l’économie informelle dans l’économie formelle et à ce moment le PIB va augmenter et la masse salariale en pourcentage va baisser. En dehors de ce schéma, il est utopique de croire de pouvoir y remédier .»

Articles en relation

Désinformation numérique : les journalistes appelés à reprendre la main

Marché algérien : potentiel export à valoriser (ITCEQ)

La Tunisie condamne l’agression sioniste contre l’Iran

Tunisie : Sage Automotive va créer un second site de production pour porter ses effectifs à 3 000 d’ici 2027

ZOOM – Emploi en Tunisie : et si on changeait de logique?

MARQUÉE: Budget 2017, budget 2018, emploi, loi de finances 2018, Tunisie
L'Economiste Maghrébin 15 août 2017
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Quand BCE secoue la classe politique
Article suivant Ministre de la Justice – AMT : nouvelles mesures tous azimuts
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?