En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Algérie : une année sous le signe de l’ austérité
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Conseil des ministres sur le sport
La CDG préside un CM sur un projet de loi fondamentale sur les structures sportives
A ne pas manquer Nation Politique
IDE
En Tunisie, les IDE ont progressé de 61 % entre 2020 et 2024 (FIPA)
A ne pas manquer Conjoncture Economie
Ons Jabeur
Tennis – Tournoi de Berlin: ça passe pour Ons Jabeur
A ne pas manquer Bien-être Sport
sciences de l'environnement
École d’été en sciences de l’environnement du 2 au 4 juillet à Tunis
A ne pas manquer Economie Environnement
Une seule santé
Déclaration de Carthage pour « Une seule santé » : une feuille de route régionale face aux défis 
A ne pas manquer Nation Société
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Maghreb > Algérie : une année sous le signe de l’ austérité
MaghrebMonde

Algérie : une année sous le signe de l’ austérité

Leconomiste
2016/01/11 at 9:42 AM
par Leconomiste 4 Min Lecture
Partager
Partager

Gel des recrutements dans la fonction publique, augmentation des taxes, privatisations et diminution des dépenses publiques. Les Algériens sont mécontents et l’ont fait savoir. L’Etat qui parle de « prudence » et non d’ « austérité » sait cependant qu’il n’y a pas d’autre voie, avec un baril à 32 dollars.

C’est avec une certaine appréhension que les Algériens envisagent sans doute l’année 2016. La raison est du reste largement connue : l’austérité budgétaire décidée par les autorités publiques.

Contents
Gel des recrutements dans la fonction publique, augmentation des taxes, privatisations et diminution des dépenses publiques. Les Algériens sont mécontents et l’ont fait savoir. L’Etat qui parle de « prudence » et non d’ « austérité » sait cependant qu’il n’y a pas d’autre voie, avec un baril à 32 dollars.« Austérité » ou « prudence » ?

Il aura suffit de suivre les débats aussi bien à l’Assemblée populaire nationale qu’au Conseil des nations pour comprendre les craintes qui se font jour dans une partie du moins de l’opinion concernant les finances de l’Etat. Et ce, dans un pays où l’Etat a toujours joué un rôle économique central.

Une partie des députés de l’opposition a envahi, le 30 novembre 2015, date du vote de la loi de finances 2016, l’hémicycle de l’Assemblée populaire nationale pour dénoncer ce texte jugé par la passionaria algérienne Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs, comme « une offensive sauvage et fatale contre le pouvoir d’achat ». Les articles de la loi ont été du reste votés sous les sifflets et les chants patriotiques.

C’est que l’Algérie– et ce n’est un secret pour personne- est depuis quelques années dans une mauvaise passe, en raison de la baisse du baril du pétrole. Dur dur pour une économie dans laquelle les hydrocarbures constituent une part importante (96% des revenus des exportations, 60% du budget et 40% du PIB).

De nombreuses sources indiquent, à ce juste propos, que l’Algérie a besoin d’un prix du baril de pétrole à 110 dollars pour financer le budget de l’Etat. Or, ce dernier est à 32 dollars maintenant. C’est ce que les économistes appellent le « prix d’équilibre budgétaire du baril de pétrole ».

« Austérité » ou « prudence » ?

Plus important sans doute : les conséquences de ce budget 2016 sur le quotidien des Algériens qui ont vu en lui un budget d’« austérité », alors que les autorités parlent plutôt d’un budget de « prudence ».

Au premier rang de ses conséquences: le gel des recrutements dans la fonction publique, mais aussi la baisse des dépenses publiques (9%, le plus fort pourcentage depuis l’indépendance), la hausse des taxes et l’ouverture des entreprises publiques a l’actionnariat (en fait la privatisation).

Des mesures qui ne réconfortent pas toujours une population qui a toujours vécu dans une économie où l’Etat intervient constamment pour privilégier le social, en recrutant et en subventionnant notamment les dépenses des ménages.

Reste que l’Algérie ne peut plus continuer sur cette voie. L’Etat algérien devra cette année puiser 25 milliards de dollars (près de 52 milliards de dinars tunisiens) dans le Fonds de Régulation des Recettes ( FRR ), créé en 2000 et dont le but est de gérer les excédents budgétaires liés aux exportations d’hydrocarbures.

A retenir aussi que le Conseil national économique et social a tiré, en novembre 2015, une véritable sonnette d’alarme en soutenant que le déficit budgétaire sera en 2015 équivalent à 22% du PIB. Et en ajoutant que le FRR a enregistré depuis juin 2014 une baisse de 33% de ses avoirs.

Articles en relation

Enlèvement d’Amir Boukhris : Trois hommes mis en examen, dont un diplomate algérien

L’Algérie utilise la « carte énergétique » avec force

Prés de 700 participants à la Foire internationale d’Alger

Tunisie/Algérie: « Les relations économiques en deçà des potentialités »

Riadh Sidaoui : la révolution algérienne est unique

MARQUÉE: Actualité algérie, austérité algérie, baril de pétrole algérie, budget 2016 algérie, Déficit budgétaire Algérie, dépenses des ménages algérie, Dépenses publiques Algérie, Economie Algérie, etat algérien, Fonds de Régulation des Recettes algérie, FRR algérie, Hydrocarbures Algérie, loi de finances 2016 algérie, prix du baril de pétrole algérie, récession économique algérie, réformes algérie
Leconomiste 11 janvier 2016
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Mohsen Marzouk : objectif, les élections municipales
Article suivant Le magnat de l’immobilier et la « reine du chaos »
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?