Mourad Zeghidi, détenu depuis plus d’un an, a terminé son interrogatoire le 15 mai 2025, avec une demande de mise en liberté en cours d’examen. Arrêté en mai 2024 et condamné pour « diffusion de fausses nouvelles », il fait face depuis décembre 2024 à un second mandat de dépôt « pour association de malfaiteurs et blanchiment d’argent, accusations liées à un chèque justifié par la vente d’un bien familial. »
Ses avocats dénoncent un acharnement judiciaire motivé par ses opinions, soulignant l’absence de preuves solides.