La disparition et le meurtre d’un enfant de quatre ans à Kasserine suscitent de vives préoccupations, car ce n’est pas la première fois que de tels événements se produisent en Tunisie.
Récemment, un crime atroce a eu lieu au quartier Ezzouhour : un enfant de quatre ans a été retrouvé mort, assassiné dans la soirée du mardi 11 mars 2025.
Par ailleurs, le substitut du procureur, Imed Omri a démenti les rumeurs d’égorgement et a indiqué que l’enfant a été blessé à la tête avec un objet contondant. Une autopsie sera réalisée pour déterminer les causes exactes de la mort. Ainsi, les investigations ont déjà permis d’identifier un suspect potentiel.
Rappelez-vous que ce n’est pas la première fois qu’on assiste à de telles tragédies durant le mois de Ramadan. Le 2 mars 2025, une fillette de six ans a été retrouvée morte à El Omrane Supérieur, avec des traces de violence et d’agression à l’arme blanche sur son corps. Elle avait disparu après la rupture du jeûne la veille, et sa famille avait alerté les autorités. Le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis a ouvert une enquête, et une personne vivant près du domicile de la victime a été placée en garde à vue.
Cela nous amène à poser la vraie question : pourquoi ces disparitions d’enfants se multiplient-elles? Ceci souligne l’importance des investigations pour comprendre les circonstances exactes de tels drames et identifier les responsables.
En somme, de tels incidents peuvent être influencés par des facteurs sociologiques tels que les tensions familiales, les troubles mentaux, ou encore des problèmes de santé mentale dans la communauté, comme suggéré par le cas du suspect à El Omrane Supérieur.