Le procès d’une quarantaine de personnes accusées de « complot contre la sûreté de l’État » a débuté mardi 4 mars 2025. Cette affaire est dénoncée comme “vide” par des ONG et l’opposition. Les accusés, issus de divers courants, incluent des responsables de partis, avocats et figures des médias, soupçonnés de contacts avec des diplomates étrangers.
Ils sont inculpés pour des crimes passibles de lourdes peines, voire de la peine capitale. L’audience s’est tenue sans la présence physique des accusés, qui comparaissent par visioconférence, ce qui est contesté par leurs proches.
Par ailleurs, des slogans ont été scandés à l’intérieur de la salle de l’audience tels que : « Une audience présentielle est un droit et non une faveur. »