Les jeunes pousses de la greentech ont attiré le plus de financements de fonds l’an passé en France; alors que le numérique prédominait jusqu’ici. C’est ce que dévoile le baromètre du capital-risque d’EY, le 11 janvier, et que rapporte La nouvelle usine, dans un article publié à la même date.
Ce média précise que ce baromètre « confirme par ailleurs la fin de l’euphorie post-covid, avec des levées en baisse de 38% par rapport à 2022 ». La même source affirme que « l’écosystème français des start-up change de visage ».
Continuant dans le même sillage, il relève que « lors des années de reprise post-covid, les services internet (e-commerce, marketing, applications mobiles…) dominaient le classement des secteurs où les start-up tricolores réalisent les plus grosses levées de fonds; avec près de 4 milliards d’euros collectés en 2021 et environ 3 milliards d’euros en 2022 ». Ainsi, le secteur de la greentech a le vent en poupe
En outre, les logiciels et services informatiques (intelligence artificielle, SaaS…) ou les start-up de la finance complétaient ensuite le podium.
GREENTECH — Notons que le mot greentech est la combinaison de “green” (vert) et “technology” (technologie). Il est né aux USA, dans la Silicon Valley. La France découvre ce concept en 2010. Il s’agit d’appliquer les nouvelles technologie au développent durable et d’agir sur l’environnement.