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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Conjoncture > Le climat politique, principale cause de la détérioration du climat des affaires
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Le climat politique, principale cause de la détérioration du climat des affaires

L'Economiste Maghrébin
2021/12/14 at 4:10 PM
par L'Economiste Maghrébin 7 Min Lecture
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L’ITCEQ a publié aujourd’hui les résultats de la 21ème enquête annuelle sur le climat des affaires et la compétitivité des entreprises.

La partie liée au climat des affaires a touchés un échantillon composé de 1726 entreprise. Les résultats de cette enquête montrent que le climat politique, la corruption, le climat social, le financement bancaire, les pratiques dans le marché et le cadre macro-économique et juridique sont les principales contraintes.

Contents
L’ITCEQ a publié aujourd’hui les résultats de la 21ème enquête annuelle sur le climat des affaires et la compétitivité des entreprises.Climat politiqueQu’en est-il du recours des entreprises aux services administratifs en ligne ?Financement bancaire: une contrainte structurelleCovid-19 : La majorité des entreprises négativement impactéesFormation, innovation et transformation numérique

Climat politique

Le climat politique, dont le niveau de l’indicateur de perception du climat des affaires (IPCA) a accusé la plus forte baisse. Il s’est positionné comme étant la principale cause de détérioration de la perception du climat des affaires en 2020.

Notons que d’autres domaines à l’instar du climat social, des pratiques dans le marché, des procédures administratives de la corruption et du financement bancaire ont également contribué à cette baisse.

70% des entreprises considèrent le climat politique comme contrainte majeure. L’instabilité politique s’avère une raison pour laquelle près du tiers des entreprises n’ont pas investi en 2020. 69% des entreprises perçoivent la corruption comme contrainte majeure.

Seules 6% trouvent que le phénomène de la corruption s’est relâché en 2020. Et ce par rapport à 2019.  En effet, plusieurs raisons expliquent l’évolution de ce phénomène. Certaines incombent à l’entreprise. D’autres incombent à l’administration publique. Selon l’enquête, la digitalisation des services administratifs est le principal moyen de lutte contre la corruption.

Qu’en est-il du recours des entreprises aux services administratifs en ligne ?

D’après les résultats de cette enquête, le recours des entreprises aux services administratifs en ligne dépend du caractère de ce service : obligatoire versus hybride. Notons que la majorité des entreprises sont satisfaites des services administratifs en ligne.

Pour les entreprises qui sont insatisfaites quant aux services administratifs en ligne, la principale raison incombe à la complexité et à l’inefficacité des plateformes informatiques suivie par le déplacement inévitable à l’administration à l’exception pour le TUNEPS dont l’insatisfaction revient en deuxième lieu au problème de couverture du réseau.

En effet, 51% des entreprises sondées considèrent que la minimisation du nombre des procédures le principal clé de succès pour réussir la digitalisation des services administratifs.

S’agissant du climat social, malgré le relâchement du nombre de protestations ces dernières années, les premiers mois de l’année 2021 ont connu une certaine reprise. Ceci est ressenti, selon l’enquête, par les chefs d’entreprise.

64% considèrent le climat social comme contrainte majeure à leur activité. Plus de 20% des entreprises qui n’ont pas investi en 2020 l’expliquent par les tensions sociales

Financement bancaire: une contrainte structurelle

Sur le volet financier, le financement bancaire est une contrainte structurelle. Elle freine le développement de l’activité des entreprises. En effet, les principales difficultés résident dans les garanties exigées et dans le taux d’intérêt selon 43% et 80 % des chefs d’entreprise respectivement.

Les pratiques de la concurrence au même titre que le marché parallèle, sont considérés par plus de 60% des chefs d’entreprise comme contraintes majeures entravant le bon déroulement de leur activité.

Le cadre macro-économique approché par les agrégats macro (le taux de croissance du pays, le taux d’inflation, le taux de change) est considéré par 60 % des entreprises comme une contrainte majeure. Le code de change au même titre que le cadre juridique constituent une contrainte majeure pour près de la moitié des opérateurs économiques.

Covid-19 : La majorité des entreprises négativement impactées

Ainsi, leurs indicateurs d’activité ont connu pour la plupart une baisse que ce soit au niveau de la production/activité (70 %) et du chiffre d’affaires (72 %), qu’au niveau des exportations (71 %) et des parts de marché (61%).

La crise sanitaire a aussi impacté négativement l’investissement. Ainsi, plus de 80 % des entreprises n’ont pas réalisé d’investissement en 2020 dont près du tiers l’expliquent par le Covid-19.

Plus des deux tiers des entreprises signalent avoir dû suspendre leur activité en 2020 . Et ce pour des raisons directement (confinement obligatoire) ou indirectement liées au Covid-19.

En termes de position compétitive, près de la moitié des entreprises (45 %) déclarent qu’elle s’est détériorée entre le 1er et le 2ème semestre de l’année 2020.

Pour rappel, selon une enquête de la Banque Mondiale réalisée durant le quatrième trimestre de 2020, 2,6% des entreprises étaient définitivement fermées à cause du Covid-19 (1,5% en T3, et 0,3% en T2). Ce taux passerait à 4% en 2021 selon l’enquête compétitivité de l’ITCEQ.

Formation, innovation et transformation numérique

Seules 30 % révèlent avoir bénéficié des mesures de soutien au titre du Covid-19. Ces mesures se résument pour l’essentiel dans l’appui financier (crédit Covid-19) et les mesures sociales (indemnisation des salariés et report des cotisations CNSS

Pour celles qui n’ont en pas bénéficié, 30% ont cité la complexité des procédures. Le quart n’en ont pas besoin. 18 % ont vu leur demande rejetée.

Pour renforcer leur position compétitive et parmi plusieurs actions proposées, celles qui sont estimées prioritaires par les entreprises sont la formation des employés suivie de l’innovation et de la transformation numérique.

Au niveau des exportateurs, plus de la moitié (52 %) pensent que la prospection de nouveaux marchés serait la stratégie à adopter pour la promotion de leurs exportations.

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MARQUÉE: Climat des affaires, Innovation
L'Economiste Maghrébin 14 décembre 2021
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