Le Comité supérieur des droits de l’Homme et des libertés fondamentales (CSDHLF) a condamné l’implication des appareils de l’Etat dans la protection des terroristes et la facilitation de leur entrée en Tunisie.
En effet, le CSDHLF a dénoncé l’implication “de deux magistrats, symboles de la justice tunisienne, dans la protection des terroristes et des corrompus”. Lit-on dans une déclaration publiée aujourd’hui 1er juillet.
Le CSDHLF a alerté en outre sur “les soupçons sérieux compromettant” le chef du gouvernement chargé de la gestion des affaires du ministère de l’Intérieur et la ministre de la Justice par intérim dans la protection du terrorisme et de la corruption.
“Ces soupçons pourront saper la confiance dans les institutions de l’État et le gouvernement”. Estime le CSDHLF. “Le laxisme récurrent face aux faits de corruption et l’impunité portent atteinte à la sécurité nationale “. Note-t-il.
Par ailleurs, le Comité a dénoncé l’agression physique contre la présidente du PDL Abir Moussi, en plein hémicycle . Une agression survenue en présence de la ministre de la Femme.
Avec TAP