En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Alerte à l’état d’alerte !
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Mohamed Ali Turki, directeur technique à l'Agence de Protection et de l’Aménagement du Littoral (APAL), a affirmé que l'agence vise la protection de 15% des côtes menacées par l’érosion maritime en Tunisie à l’horizon 2030.
Tunisie : l’APAL contre l’érosion côtière à l’horizon 2030
A ne pas manquer Economie Environnement
Hatem Ben Salem
Hatem Ben Salem prédit un nouvel ordre mondial « dur et immoral »
A ne pas manquer Nation Politique
prévisions de croissance
La BM réduit ses prévisions de croissance mondiale
A ne pas manquer Economie Economie internationale
La troisième édition du Mediterranean Seafood Festival – Gastro Tunisia se tiendra du 20 au 22 juin 2025 à Hammamet. Ce rendez-vous culinaire d'envergure internationale rassemblera des chefs et experts gastronomiques venus de 24 pays.
Hammamet accueille 24 pays pour le Seafood Festival
A ne pas manquer Arts Culture
UNOC 3
ONUC 3 : la cupidité pousse l’océan au bord de l’effondrement, avertit Guterres 
A ne pas manquer Economie Environnement
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Editoriaux > Alerte à l’état d’alerte !
Editoriaux

Alerte à l’état d’alerte !

Mohamed Fawzi Blout
2019/03/14 at 3:30 PM
par Mohamed Fawzi Blout 5 Min Lecture
Partager
Partager

La dissuasion, le message et le coût, vous avez dit état d’alerte ? Et pourtant il devrait exister, et tout le monde est supposé en voir les signes extérieurs. Que nenni, j’ai beau cherché l’état d’urgence, rien à faire ; aucune manifestation visible, et je ne sais pas si c’est une force, une prouesse, ou tout simplement une faiblesse. Bien sûr que l’armée, les forces de sécurité, les forces de l’ordre veillent au grain, et une occasion pour leur rendre hommage.

Et pourtant, on continue à se poser la question de savoir si, il faut oui ou non lever un état d’urgence difficilement identifiable. Et à chaque fois, c’est pratiquement le même scénario : un camp pour et un autre contre.

A l’heure où la question suscite les faveurs des uns et les appréhensions des autres, je me contenterais de poser la question suivante : est-ce que les raisons qui ont motivé l’instauration de l’état d’urgence ne sont plus valables aujourd’hui ?

Le président de la République, quant à lui, a préféré renvoyer l’affaire devant l’Assemblée du peuple. Et puis, il faut bien le dire : qu’est-ce qui a vraiment changé dans la guerre contre une corruption qui a battu tous les records ? Qu’est-ce qui a vraiment changé dans la guerre contre le terrorisme ?

On ne peut pas dire que dans les deux cas, le gouvernement joue franc jeu, même la position du chef de l’Etat a pris une autre tournure.  Corruption et terrorisme, les liaisons infernales.

Tenez, lever l’état d’urgence serait une excellente affaire pour les tenants du dogme revisité en mal d’endoctrinement et de recrutement qui ont investi les lieux de culte.

Ces derniers ne vont pas se priver de nager dans les eaux troubles du terrorisme comme un poisson dans l’eau. Et en aucune façon on ne peut prétendre que les mosquées du pays aient été complètement expurgées de la gangrène wahhabite takfiriste. Quoi qu’en dise le ministre des Affaires religieuses, Ahmed Adhoum, dont on ne peut ignorer les sympathies.

Qu’une Oriana Fallaci, célèbre journaliste italienne décédée, qui a rencontré les plus grands, dont Yasser Arafat, et est connue pour être ouvertement raciste, écrive dans son livre pamphlet, et résolument anti-arabe et anti-musulman, «La rage et l’orgueil » consacré aux dérives du phénomène migratoire, que « les mosquées grouillent jusqu’à la nausée de terroristes ou d’aspirants-terroristes », elle n’a pas totalement tort, même s’il faut se garder de généraliser. L’invulnérabilité étant une utopie, peut-on dire ici.

A ce stade, peut-on réellement affirmer que la situation sécuritaire est suffisamment maîtrisée pour prétendre qu’un maintien de l’état d’urgence n’a plus sa raison d’être, alors que le terrorisme ne s’est jamais aussi bien porté même acculé et poussé dans ses derniers retranchements ?

On peut voir la main des différents opérateurs économiques qui poussent dans ce sens pour rassurer et bien montrer que le pays mérite qu’on lui fasse confiance. Comme du reste certains droits-de-l’hommistes dont les accointances avec l’islam politique ne sont un secret pour personne.

Et puis, les motivations, aussi légitimes soient-elles, ne doivent en aucune façon masquer le fait que le pays est toujours vulnérable et que le frisson d’un possible attentat terroriste de trop qui pourrait tout ruiner est partout palpable.

Pur hasard, la question du maintien ou de la levée de l’état d’urgence intervient alors qu’un scandale vient d’éclater dans un secteur de la santé en état de décomposition avancée, et qui, lui-même, a bien besoin que l’on instaure à son propos l’état d’urgence ; et aucun secteur n’y échappe du reste.

Comme quoi, il n’y a pas que la dimension sécuritaire qui devrait nous interpeller, surtout quand les fondements mêmes de l’Etat sont menacés. C’est dire combien il y a état d’urgence en la demeure, et à tous les niveaux. Sûreté, sécurité et bonne gouvernance, même combat.

Face à tous ceux qui ont en charge la gestion de la santé dans le pays, le chef du gouvernement Youssef Chahed a été on ne peut plus clair : les défaillances criardes, une question de bonne gouvernance avant tout. Après que le pays eut usé pas moins de huit ministres de la Santé en huit ans à raison d’un ministre de la santé tous les ans, il était vraiment temps !

Articles en relation

Une seule région, une seule santé : préparation pour la Conférence MENA

La politique de Trump en matière de santé reproductive est « désastreuse », selon l’ONU

Canicule : protégez-vous des coups de soleil !

Mustapha Ferjani annonce des hausses salariales pour les jeunes médecins

ARP : Interpellations sur la santé et les retards de projets

MARQUÉE: Chahed, l’état d’urgence, Santé, Terrorisme
Mohamed Fawzi Blout 14 mars 2019
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Slim Khalbous reçoit Mehdi Merai et Amine Ben Ayed, co-fondateurs de Dataperformers
Article suivant Exportations : signature d’une convention de partenariat entre Wifak Bank et la Cotunace
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?