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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Conjoncture > Ouided Bouchamaoui : l’impôt exceptionnel ne passera pas en 2018
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Ouided Bouchamaoui : l’impôt exceptionnel ne passera pas en 2018

L'Economiste Maghrébin
2017/01/16 at 4:17 PM
par L'Economiste Maghrébin 5 Min Lecture
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 A la veille du 70ème anniversaires de l’UTICA, la présidente de la centrale patronale, Ouided Bouchamaoui, était l’invitée de la radio privée Mosaïque FM. Janvier 2017 marque aussi 70 ans d’existence de la centrale patronale. Il semble que c’est l’heure du bilan pour l’UTICA.

La présidente de l’UTICA a notamment affirmé que la contribution exceptionnelle sur le revenu de 7,5% imposée aux entreprises ne passera pas la prochaine fois (loi de finance 2018). Dans le même contexte, elle a indiqué que cette contribution est un lourd sacrifice pour les chefs d’entreprise dans la conjoncture économique actuelle. Mme Bouachamaoui a déclaré à ce propos : « Nous avons un grand cœur et il sera écrit  avec des lettres en or que l’UTICA a fait des sacrifices à un moment où la Tunisie en avait besoin ».

Malgré cela, elle estime que l’Etat n’a pas eu le choix puisque faire entrer le secteur informel dans le secteur formel et récupérer les ressources dont le pays a besoin nécessite un temps considérable. Cependant, elle a insisté que l’Etat doit prendre garde de ne pas tenter d’imposer le même impôt en 2018, car ce serait l’asphyxie pour la plupart  des entreprises qui ne manqueront pas de se mobiliser contre cet impôt qui doit justement rester, comme son nom l’indique, exceptionnel.

Par ailleurs, lors du prochain congrès de l’UTICA, la question de la participation des hommes d’affaires de l’UTICA  aux élections de l’ARP  sera débattue. Justifiant cette décision, Ouided Bouchamaoui a fait savoir  qu’ avoir des hommes d’affaires, même s’ils ne seront jamais assez nombreux, au sein de l’ARP est le seul moyen de faire pression pour amender un projet de loi ou obtenir son annulation. » Pourtant  j’avais dit, dans d’autres occasions, que l’UTICA est une organisation apolitique », rapelle-t-elle.

Interpellée sur les prévisions de la Banque mondiale qui prévoit un taux de croissance de 3% en 2017, la présidente de l’UTICA a répondu sur un ton bref : «  C’est un peu difficile ».  Sur son mandat à la tête de l’UTICA, l’invitée a fait savoir que  la période de son mandat n’a pas été aussi difficile comparée à la période des coopératives et celle des fondateurs de l’UTICA.  Pour ce qui des négociations sociales avec l’UGTT, elle a affirmé qu’elles se déroulent  dans le calme.

Répondant à une question relative au bilan de l’UTICA après 70 ans, Ouided Bouchamaoui a fait savoir que c’est une période pleine de réussites mais aussi d’échecs. «  Je suis fière d’être la première femme arabe à la tête d’une centrale patronale ». Revenant sur le rôle du secteur privé, elle a rappelé qu’il contribue à  hauteur de 61% à la fiscalité et 60% en termes d’emplois.

Pour elle, l’économie aurait dû être sur un pied d’égalité avec la politique et ce depuis 2011. Bien que la transition politique ait réussi,  la transition économique n’a pas été accomplie pour le moment. «  Nous demandons de donner davantage de valeur à l’économie », dit-elle.

Expliquant les raisons pour lesquelles uniquement 35% des intentions d’investissement ont été concrétisés, Ouided Bouchamaoui a pointé du doigt le cadre de vie, le climat social et les problèmes fonciers. «  D’ailleurs, les responsables dans les régions doivent souvent consulter leurs supérieurs dans la capitale, ce qui crée une certaine lourdeur administrative », fait-elle savoir.

Sur un autre volet, elle précise : «  Je ne nie pas l’existence d’hommes d’affaires non disciplinés mais moi je suis concerné uniquement par les hommes d’affaires disciplinés, les autre c’est le rôle de l’Etat d’intervenir », dit-elle avant de considérer qu’il existe beaucoup de diabolisation des hommes d’affaires.

Evoquant la relation université-entreprise, la présidente de l’UTICA a proposé d’évaluer le système de la formation professionnelle d’une part et de mettre en place un système par alternance entre entreprise et université pour une meilleure employabilité et performance du diplômé, d’autre part.

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L'Economiste Maghrébin 16 janvier 2017
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