Un sommet de haut niveau se tient en ce moment à l’ONU pour renforcer cette dynamique. Ce sommet s’inscrit dans un contexte difficile marqué par la crise humanitaire à Gaza, et des blocages politiques persistants.
Lors de ce sommet, plusieurs pays occidentaux, dont la France, le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie, annoncent la reconnaissance officielle de l’État palestinien dans un geste diplomatique symbolique mais à fort impact politique.
La déclaration de New York appelle à la fin du conflit, à la cessation des violences, à un engagement clair des autorités israéliennes envers la solution des deux États, à la fin de la colonisation illégale et au respect du droit international humanitaire.
La France, représentée au sommet par Emmanuel Macron, plaide pour une paix juste et durable basée sur le droit international et la coexistence pacifique des deux États. Ce sommet pourrait impulser une nouvelle étape dans les efforts internationaux pour une solution politique durable.
En parallèle, le Conseil de sécurité a eu récemment des réunions liées à la paix et la sécurité dans la région, avec des tensions persistantes notamment à cause de blocages sur certaines décisions.
En résumé, l’ONU est actuellement au cœur d’une mobilisation diplomatique pour relancer la paix palestino-israélienne soutenue par une majorité d’États, des initiatives formelles comme la déclaration de New York, et des annonces symboliques de reconnaissance de la Palestine lors du sommet du 22 septembre 2025.