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Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Analyses > Quel serait l’impact sur le budget si les cours du Brent s’envolaient ? 
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Quel serait l’impact sur le budget si les cours du Brent s’envolaient ? 

Bassem ENNAIFAR
2025/01/12 at 4:18 PM
par Bassem ENNAIFAR 5 Min Lecture
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Trent
Brent
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Les prix du pétrole ont terminé la semaine sur une note positive. La raison ? L’annonce par le département du Trésor américain de sanctions radicales à l’encontre de l’industrie pétrolière russe.

 

Le Brent (livraison mars 2025) a évolué au-dessus des 78 dollars tout au long de la journée du vendredi 10 janvier pour terminer les échanges à 79,76 dollars. Le Brent avait même dépassé les 80 dollars le baril pour la première fois depuis octobre lors des échanges intra-journaliers, atteignant un sommet de 80,75 dollars.

L’effet Trump

Les sanctions visent les compagnies pétrolières russes Gazprom Neft et Surgutneftegas et leurs filiales, plus de 180 pétroliers et plus d’une douzaine de responsables et de dirigeants russes du secteur de l’énergie.

Selon le département du Trésor, les navires sanctionnés sont pour la plupart des pétroliers qui font partie de ce qu’il appelle la « flotte fantôme » de la Russie, laquelle a échappé aux sanctions existantes sur les exportations énergétiques du pays.

Maintenant, les raffineurs indiens et chinois, qui ont importé du pétrole russe, devront faire des pieds et des mains pour obtenir des barils du Moyen-Orient.

L’administration Biden a cherché à accroître la pression sur la Russie et à fournir une aide à l’Ukraine avant que le président élu Donald Trump ne prenne ses fonctions. La prime de risque matérielle d’aujourd’hui pour le Brent se maintiendra, dans l’attente de signaux de l’équipe du nouvel héritier du bureau ovale quant à la poursuite de ces sanctions.

Le marché est également soutenu par un temps très froid aux Etats-Unis, ce qui devrait entraîner une augmentation de la demande en combustibles de chauffage.

Double impact potentiel

Revenons à la Tunisie. Pour le moment, et en dépit de cette reprise, les attentes convergent encore vers une année en faveur des importateurs. Certes, il y a des événements qui poussent le marché vers le haut, mais le vrai problème de croissance mondiale est toujours d’actualité. Nous sommes encore dans les deux premières semaines de 2025 et les cycles de hausse et de baisse seraient innombrables.

La pression sur le budget de l’État provient de deux sources. La première est la hausse elle-même des cours du baril. Par rapport au prix moyen retenu pour l’ensemble de l’année 2025, qui est de 77,4 dollars, une hausse de 1 dollar nous coûtera 162 millions de dinars (MDT) supplémentaires dans l’enveloppe de la subvention.

Nous rappelons que nous ne pouvons constater l’impact réel que vers la fin de l’année, car nous raisonnons ici par prix moyen. Au vu des cycles de cours, nous allons alterner les gains et les pertes, pour trouver un solde en fin de période.

La seconde pression est le taux de change USD/TND. Tous les économistes sont unanimes pour dire que le billet vert gagnera en puissance en 2025 face à toutes les autres devises. L’augmentation attendue sous l’administration Trump des droits de douane sur les produits européens, en particulier les produits automobiles et pharmaceutiques, nuira à la compétitivité des exportations du Vieux Continent.

De plus, la hausse des prix aux États-Unis pourrait inciter la Fed à maintenir ses taux élevés plus longtemps.

Par contre, une croissance modeste en Europe pourrait pousser la Banque centrale européenne (BCE) à assouplir les conditions monétaires pour stimuler la demande. Les positions politiques divergentes pourraient faire baisser la monnaie unique. L’impact pour nous est de 52 MDT pour tout 10 millimes de dépréciation face au dollar.

Il est encore très tôt pour se prononcer. Nous sommes encore dans les premiers jours de l’exercice budgétaire. Toutefois, il faut bien surveiller l’évolution des marchés, car ils sont déterminants pour la marge de manœuvre du gouvernement. L’année 2024 était favorable et nous a permis d’alléger les pressions sur la balance des paiements. Espérons que cela se réitère cette année.

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MARQUÉE: Brent, Budget, Gazprom, Industrie pétrolière, tersor americain
Bassem ENNAIFAR 11 janvier 2025
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