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Doutes

Mohamed Ali Ben Rejeb
2024/05/25 at 2:44 PM
par Mohamed Ali Ben Rejeb 6 Min Lecture
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Le président du TABC, Anis Jaziri, a souligné, dans une déclaration à l'Agence TAP, que cette manifestation économique majeure, vise à instaurer un échange des points de vue et des expériences au niveau du continent africain, dans le but de renforcer davantage les relations entre les pays africains et d'établir des partenariats solides.
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Sans aucun doute, le chômage est l’un des premiers fléaux qui frappe la Tunisie. L’Institut national de la statistique vient de le confirmer, avec un nombre de chômeurs au premier trimestre de l’année 2024 estimé à environ 669,3 mille. L’INS nous dit encore que le taux de chômage des diplômés de l’enseignement supérieur augmente pour atteindre 23,4% au premier trimestre de l’année 2024, il est de 31,2 % chez les femmes. On peut toujours se dire que le mal est conjoncturel et qu’en fait, même si le chiffre augmente, le taux est en baisse, il passe de 16.4 à 16.2%! Il n’en reste pas moins que la situation est alarmante. Elle l’est encore plus lorsqu’on sait que la croissance pour le premier trimestre 2024 est de 0.2%. Autant dire qu’il n’y aura plus d’embauche. On parle là surtout des diplômés, mais avec ce taux de croissance, le phénomène sera certainement encore plus accusé chez les non diplômés. D’ailleurs, il est quelque peu désuet de parler de chômage des diplômés, puisque le système fait que tout le monde, ou quasiment, est diplômé, d’une manière ou d’une autre. En fait, les jeunes suivent presque tous un cursus, sauf que les cursus ne mènent que très rarement à l’emploi. Il est très gratifiant pour l’ego national d’aligner les chiffres hyperboliques des bacheliers par an. Et cela s’arrête à ce niveau.

Bien sûr, nous allons avoir encore droit à un nouveau plan stratégique pour l’emploi, réputé être la clef de voute et la quintessence de notre vision prospective du développement par l’économie nationale. L’existence d’une « stratégie » montre, a minima, que nous sommes conscients que les décisions à la petite semaine ne suffisent pas. D’un autre côté, l’augmentation du nombre des chômeurs signifie que les remèdes proposés jusque-là ne répondent guère aux demandes. Manière de dire, d’une façon quelque peu cynique, que les politiques menées ne permettent de résoudre qu’une infime partie du problème.

Et ce n’est là qu’un problème parmi d’autres. Pour l’heure, il y a aussi cette question du décret 54. Derrière, on retrouve comme toujours la querelle entre les pour et les contre. Des manifestations et des contre-manifestations. C’est de bonne guerre, sauf que cette guerre féroce est en train de saper les fondements de la Nation. Il n’en reste pas moins qu’on ne doit pas rester sourd aux inquiétudes devant cette fâcheuse tendance à émettre à gauche et à droite des mandats de dépôt. Surtout pour un non. Il vient d’y avoir encore une bonne flopée, avec le même chef d’accusation. On évite d’avoir à le crier sur les toits, mais on a comme l’impression que des pratiques considérées comme ensevelies renaissent de leurs cendres. Ce n’est peut-être qu’une simple impression. A en croire les versions contradictoires, rien n’est certain. Mais si l’on suit la logique de Descartes et que l’on décide de douter de tout ce qui n’est pas absolument certain, il est alors pertinent de remettre tout en cause et de se demander si le décret 54, proposé comme un remède aux dérives de la toile, ne fait, en fait, que gangréner la plaie.

Comme quoi, les pilules ne guérissent pas forcément. Cela dit, on pourra toujours la faire passer, la pilule, avec un peu de harissa sucrée. Cela ne nous coûtera rien, surtout après que l’arrêté de la ministre des Finances du 10 mai 2024 a exclu de l’application de la redevance de compensation un certain nombre de pâtisseries traditionnelles populaires comme le « makroudh », « la corne de gazelle », « la zlabia et les mkharak », tout type de « ghrayba », tout type de « bachkoutou », de « yoyo » et de beignets sucrés, d’harissa sucrée, de « debla, grewech et chbebek el janna», de « brika» sucrée et de « maassem ».

Bien sûr, il y a eu des mauvaises langues pour se demander s’il ne valait pas mieux améliorer le pouvoir d’achat des citoyens au lieu de les encourager à se gaver de sucreries dans un pays où le nombre de diabétiques augmente exponentiellement. Des mauvaises langues, qu’on n’écoutera pas, surtout avec la bouche pleine, mais qui arrivent tout de même à semer le doute. Le doute, au moins, de savoir si le ministère de la Santé a été consulté.

Le mot de la fin est disponible dans le Mag de l’Economiste Maghrébin n 895 du 22 mai au 5 juin 2024 

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Mohamed Ali Ben Rejeb 26 mai 2024
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