En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Ennahdah , voici pourquoi son système n’a pas tenu
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
transformation numérique
Hammamet accueille les 2èmes Journées arabes de l’IA et de la Transformation numérique
A ne pas manquer Entreprise Services
bus chinois
Arrivée de 189 nouveaux bus à La Goulette : la TRANSTU renforce sa flotte
A ne pas manquer Entreprise Services
Maroc et la 5G
25 % de la population marocaine devrait accéder à la 5G d’ici 2026
A ne pas manquer Entreprise Maghreb Sciences et technologies
Partenariat Egypte-Chine
L’Égypte et la Chine renforcent leur partenariat stratégique
A ne pas manquer International Monde
Eau potable : un expert met en garde contre les risques liés aux sources non réglementées
A ne pas manquer Nation Régions
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Chroniques > Ennahdah , voici pourquoi son système n’a pas tenu
A la uneChroniquesOpinions & Débat

Ennahdah , voici pourquoi son système n’a pas tenu

Mohamed Gontara
2021/08/18 at 5:57 PM
par Mohamed Gontara 5 Min Lecture
Partager
Partager

Depuis son installation au pouvoir en 2011, Ennahdah a manifesté une certaine avidité. En mettant en place un système verrouillé lui assurant l’essentiel du pouvoir ou du moins contraindre les autres acteurs à passer par lui. L’édifice ne pouvait tenir trop longtemps debout !

Qui veut tout perd tout. Ce proverbe illustre bien le vécu d’Ennahdah depuis 2011 et plus précisément depuis la mise en place de la Loi sur l’organisation provisoire des pouvoirs public du 10 décembre 2011. Un texte par lequel le mouvement islamiste a voulu dès le départ du processus révolutionnaire mettre la main sur les rênes du pouvoir.

Contents
Depuis son installation au pouvoir en 2011, Ennahdah a manifesté une certaine avidité. En mettant en place un système verrouillé lui assurant l’essentiel du pouvoir ou du moins contraindre les autres acteurs à passer par lui. L’édifice ne pouvait tenir trop longtemps debout !Faire et défaire les alliancesUn ordre établi

Confirmant par ce texte, comme par celui du reste de la constitution de janvier 2014, une certaine avidité qui sied à ses ambitions. Comptant, dans ce cadre, sur son poids au sein de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) avec ses 89 députés sur les 217 que compte cette assemblée.

Faire et défaire les alliances

Un poids qui fait, selon sa vision, de ce mouvement le principal détenteur de l’essentiel des pouvoirs et sans lequel il est difficile, du moins, de ne pas faire avec. Parce qu’en plus de la direction du parlement et du vote des lois, il laisse à Ennahdah une large latitude au niveau du choix du président de la République et du chef du gouvernement.

Un schéma qui n’a pas beaucoup varié avec la constitution de 2014 exception faite du choix du chef de l’Etat qui n’est plus certes élu par l’ARP, mais dont les pouvoirs sont limités le laissant maître de deux domaines que l’on dit « réservés » : la défense et les Affaires étrangères.

Les élections législatives de 2014 (69 députés) et de 2019 (54 députés) n’ont pas trahi cette avidité qui se mesure aussi à la capacité du mouvement à faire et défaire des alliances. Réussissant à satisfaire la volonté des uns et des autres, attirés par les ors de la République, de glaner des maroquins ministériels et d’une manière plus générale des fonctions à la tête de l’Etat. Et recourant, par ailleurs, à des arrangements et à des corrections qui lui semblaient nécessaires au sein de l’appareil de l’Etat pour asseoir son pouvoir.

Un ordre établi

Cela ne pouvait du reste marcher à tous les coups. Car, les partis politiques, y compris ceux qui ont fait un chemin avec Ennahdah, la société civile et les intellectuels ont compris assez vite de quoi il en était. Comme les trois présidents de la République qu’a connus la Tunisie de l’après 2011 et qui se sont rebellés à un moment ou à un autre contre cet ordre établi.

Réagissant à leur manière pour tordre le cou à un système verrouillé qui comme tous les systèmes de ce type ne peut que provoquer une adversité. Et à force de durer, celui-ci n’a pu qu’envenimer la situation. C’est ce qui du reste arrive en cette année 2021 au cours de laquelle les exagérations du mouvement islamiste et la pandémie ont rendu le vécu imposé par Ennahdah insoutenable.

C’est sous cet angle que les mesures prises par le chef de l’Etat le 25 juillet 2021 doivent être notamment comprises et analysées. C’était du trop c’est trop. Comment vouloir ôter, par exemple, à un président de la République, seul magistrat élu au suffrage universel par tous les Tunisiens, et qui a gagné la Présidentielle de 2019 avec 72,71 % des voix, le droit de s’impliquer dans les affaires de l’Etat en dehors des domaines dits réservés. Un président auquel on a offert des prérogatives bien en-deçà évidemment de la confiance dont il a bénéficié de la part des électeurs.

L’édifice ne pouvait tenir trop longtemps debout !

 

Articles en relation

Clôture du budget 2021 : reprise des débats, jeudi 10 juillet

Code des collectivités locales : des voix s’élèvent à l’ARP pour sa révision

Report du procès de Rached Ghannouchi

Réforme du Code pénal : les trois articles à abroger

Mise à jour législative du décret-loi n°2022-54 contre les délits cybernétiques

MARQUÉE: 25 juillet 2021, ARP, Constitution tunisienne, domaines réservés, Ennahdha
Mohamed Gontara 18 août 2021
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Covid-19 Bizerte – Covid-19 : démarrage de la campagne militaire de vaccination
Article suivant mohamed ridha farhat L’ambassadeur Mohamed Ridha Farhat tire sa révérence
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?