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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Economie internationale > Tunisie – BID : partenariat pour le développement durable
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Tunisie – BID : partenariat pour le développement durable

L'Economiste Maghrébin
2018/04/02 at 4:30 PM
par L'Economiste Maghrébin 10 Min Lecture
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En marge de la deuxième journée des 43èmes réunions annuelles du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), qui se tiennent du 1er au 05 avril 2018 à Tunis, sur le thème: « Partenariat pour le développement durable » et qui rassemblent environ 1500 participants et 57 ministres de l’économie et des finances des pays membres, Dr. Bandar Hajjar, Président du Groupe de la BID, a présenté les approbations totales de la banque au profit de la Tunisie, ainsi que les perspectives de partenariat.

Contents
La Tunisie œuvre à se positionner sur le marché de la finance islamiqueAutonomisation économique des femmes

En présence de Zied Laâdhari, président du Conseil des gouverneurs et ministre du Développement, de l’investissement et de la coopération internationale, Dr Bandar Hajjar a annoncé que depuis 1975, date de la création du Groupe de la BID, la Tunisie entretient des relations étroites et diversifiées avec la banque, qui a contribué au financement de plusieurs projets d’une valeur de 3,2 milliards de dollars répartis sur différents secteurs ainsi qu’à une assistance technique d’une valeur de 24 millions de dollars.

Le secteur de l’énergie, notamment l’électricité, se taille la part du lion des financements du Groupe de la BID avec 765 millions de dollars dédiés à la réalisation de six projets dont 29 mille ménages sont bénéficiaires.

Dr Bandar Hajjar, président du Groupe de la BID.

Suivent les secteurs de l’eau et de l’assainissement avec 258 millions de dollars, l’agriculture avec 184 millions de dollars, l’éducation avec 91 millions de dollars, l’emploi des jeunes avec 50 millions de dollars et la santé avec 30 millions de dollars.

S’agissant de nouveaux financements, M. Hajjar a annoncé que 150 millions de dollars seront alloués au renforcement des capacités de la STEG à doubler le transfert de l’énergie électrique, de satisfaire la demande croissante et la multiplication des lignes de transfert de l’électricité.

La BID s’est également engagée à mener une étude dédiée au transfert de l’usine de la Société nationale de cellulose et de papier Alfa (SNCPA) du centre-ville de Kasserine vers les alentours, pour un coût de 300 mille dollars.

Par ailleurs, 34 millions de dollars seront dédiés au renforcement de la capacité des hôpitaux régionaux de Thala et de Dahmani, avec l’acquisition de nouveaux équipements et l’amélioration des services.

Le responsable n’a pas manqué de dire que le Groupe de la BID va miser, dans les cinq prochaines années, sur le PPP, les TIC et l’Innovation. Dans ce sens, il a révélé la création d’un fonds de 500 millions de dollars qui sera destiné au financement des projets de TIC et d’innovation dans tous les pays membres, ainsi que le lancement d’une plateforme numérique dédiée aux porteurs d’idées de projets.

La Tunisie œuvre à se positionner sur le marché de la finance islamique

Dans le cadre de cette deuxième journée, Mohamed Ridha Chalghoum, ministre des Finances, a participé au panel portant sur le 13e Forum mondial de la BID débattant de la finance islamique en tant que nouveau mécanisme de financement du développement et de stimulation de l’investissement.

A cette occasion, le ministre a affirmé que la Tunisie œuvre au développement de la finance islamique, et ce, par le soutien des banques dans le domaine de la formation, l’identification des moyens de développement de ces mécanismes et la mise en place d’un programme pour le développement de la finance islamique.

Mohamed Ridha Chalghoum, ministre des Finances.

En ce qui concerne les sukuks islamiques, M. Chalghoum a indiqué que la Tunisie est en train de développer ses relations avec la BID et espère utiliser les sukuks dans le développement des finances publiques après l’achèvement de l’élaboration du système juridique et législatif y afférent.

Et d’ajouter que la Tunisie œuvre à se positionner sur le marché de la finance islamique, qui enregistre une croissance annuelle de 9,4%, tant au plan des sukuks que de différents autres mécanismes adoptés.

Il a, également, précisé que les banques islamiques opérant en Tunisie financent l’économie tunisienne, notamment à travers les lignes de financement accordées par la BID.

Sur un autre plan, le ministre a annoncé, dans une déclaration accordée aux médias, que la Tunisie attend le moment opportun pour sortir sur le marché financier international, vu qu’elle ne fait pas face actuellement à des pressions qui l’incitent à sortir si les conditions ne sont pas réunies d’une part, et pour permettre au pays de tirer profit des meilleures opportunités afin d’obtenir les financements nécessaires, d’autre part.

De son côté,  Abdul Hakim Elwaer, porte-parole du Groupe de la BID, a évoqué le lancement, aujourd’hui à Tunis, de la deuxième édition du rapport mondial consacré à la finance islamique (Global Report on Islamic Finance) par la BID, en collaboration avec  le Groupe de la Banque mondiale.

Cette deuxième publication examine, selon ses propos, les perspectives de croissance de la finance islamique et sa capacité à contribuer au développement des économies mondiales, et ce, en se basant sur des échanges entre les différentes bourses mondiales, les marchés financiers, ainsi que les banques centrales qui utilisent la finance islamique.

M. Elwaer a évoqué, également, le lancement de l’initiative des sukuks, qui a été annoncé depuis un mois à la Bourse de Londres.

Autonomisation économique des femmes

Lors du deuxième panel portant sur l’examen des moyens d’autonomisation des femmes et du renforcement de leurs capacités, Naziha Laâbidi, ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance, a indiqué que la Tunisie, depuis son indépendance, accorde un intérêt particulier au développement des ressources humaines, notamment les femmes, pour une croissance durable.

Naziha Laabidi, ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance.

La Tunisie a, dans ce sens, opté pour des politiques, des lois et des projets. Il s’agit, selon la ministre, de l’élaboration d’un programme exécutif annuel (2018) visant la réalisation des objectifs fixés dans le plan d’action national et dans l’agenda 2030 relatif au développement durable.

Ce plan d’action, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale (2017-2020) relative à l’autonomisation socioéconomique des femmes et des jeunes filles en zones rurales, dont le coût est estimé à 53,51 millions de dinars, a été élaboré à partir d’un diagnostic de la situation socioéconomique et culturelle de la femme en milieu rural.

Cette stratégie est axée sur le rapprochement et l’amélioration des prestations de soins afin de lutter contre la mortalité maternelle et les maladies transmissibles, le renforcement de la participation de la femme à la vie publique et aux postes de décision, l’autonomisation socioéconomique des jeunes filles et des femmes en milieu rural, l’amélioration de la qualité de la vie en zone rurale et la fourniture de données précises et actualisées sur les conditions et les besoins des femmes rurales…

En outre, Naziha Laâbidi a affirmé que la Tunisie a créé un prix destiné à récompenser une personne ou une institution qui œuvre à changer les mentalités et à consacrer l’égalité effective entre l’homme et la femme. Un plan pilote dans le domaine économique a été, ainsi, élaboré et dédié spécifiquement à l’accès des femmes entrepreneures aux microcrédits, allant de 5 à 15 mille dinars avec un taux d’intérêt presque nul.

De son côté, Soukeina Bouraoui, directrice exécutive du Centre arabe de formation et de recherche (Kawthar) a souligné qu’actuellement, seulement 5 à 10% des entreprises sont dirigées par des femmes. Pour développer la contribution de la femme dans l’économie tunisienne, le centre a institué un partenariat avec la BID.

Il va, aussi, opté, la semaine prochaine à Lisbonne (Portugal), pour une coopération triangulaire sud-sud (BID, Kawthar et une organisation d’honneur). Cette coopération va, selon Mme. Bouraoui, impliquer les institutions internationales, les banques, les ONG, les associations des femmes dans le processus du développement du rôle de la femme pour une croissance durable et inclusive.

Pour surmonter la fragmentation et faciliter l’accès au financement aux femmes, notamment les subventions, Kawthar a adopté, également, une méthode pilote visant à développer l’entrepreneuriat des femmes-  cas du Sénégal- et réaliser par la suite les Objectifs du Développement Durable (ODD).

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MARQUÉE: Banque Mondiale, banques, BID, croissance, développement durable, économie, Femmes, Finance Islamique, Partenariat
L'Economiste Maghrébin 2 avril 2018
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