Et si l’ancienne première dame des Etats-Unis (2009-2017) Michelle Obama se présentait à la présidentielle en remplacement de Joe Biden? Ce n’est pas encore le cas, mais c’est moins de la fiction comme c’était le cas il y a deux ans, si l’on en croit certains médias, notamment d’outre-Atlantique.
Voici ce qu’écrit le site L’indépendant : « L’éventualité d’une candidature de Michelle Obama à la prochaine élection présidentielle américaine de novembre suscite les espoirs de nombreux déçus. Pas seulement des Démocrates ».
En effet, «… deux tiers des Américains considèrent désormais Biden, 81 ans, comme trop vieux pour diriger le pays. Tandis que de nombreux électeurs redoutent la candidature de Donald Trump, 77 ans, en raison de son âge et du procès en cours dans le cadre de l’affaire Stormy Daniels, ex star du X ».
L’hebdomadaire allemand Der Spiegel ajoute de son côté : « Jamais dans l’histoire des Etats-Unis deux candidats aussi impopulaires ne se sont affrontés … Une profonde déception qui nourrit les fantasmes entourant Michelle Obama ».
L’Indépendant, citant des médias américains, rapporte d’ailleurs que «… le couple Obama aurait appelé le président Biden à ne pas se représenter ». Or il n’en est rien, car selon l’attachée de presse de Michelle Obama, « l’ancienne Première dame soutient pleinement la campagne du président et de sa vice-présidente, Kamala Harris ».
Mais cela n’éteint pas pourtant le rêve de certains Américains. Et un scénario à la hollywoodienne est en train de germer : « Lors du congrès du Parti démocrate en août, Joe Biden pourrait “faire un grand geste » en annonçant renoncer à sa candidature et en offrant sa place à l’avocate de 60 ans (Michelle Obama, ndlr) ».
Et si son nom est de plus en plus cité –pas maintenant seulement-, cela est dû au fait qu’elle était considérée comme un modèle pour les femmes, et « faisait campagne pour la lutte contre la pauvreté, l’éducation, l’importance de la nutrition, de l’activité physique et d’une alimentation saine. Elle soutenait les créateurs américains et était considérée comme une icône de la mode. Un profil qui pourrait séduire au-delà du camp démocrate ».
Pour l’heure, l’ancienne Première dame dit non à l’appel des “rumeurs“, mais si les choses sérieuses se présentaient, sa position pourrait éventuellement changer. En tout cas, « les bookmakers américains … la considèrent toujours comme l’une des candidates les plus prometteuses pour les élections de novembre ».
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