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Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Analyses > Faible croissance et inflation élevée : le pire des deux mondes
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Faible croissance et inflation élevée : le pire des deux mondes

Bassem ENNAIFAR
2024/04/26 at 5:40 PM
par Bassem ENNAIFAR 5 Min Lecture
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Le ralentissement de la croissance et la persistance de l’inflation qui se dessinent dans l’économie américaine ne constituent, peut-être, pas un scénario cauchemardesque pour la Réserve fédérale, mais ils pourraient au moins entraîner un sommeil agité à ses responsables.

Les chiffres du premier trimestre publiés hier montrent que l’économie de l’Oncle Sam se traîne à un rythme annualisé de 1,6 %, le plus faible depuis près de deux ans. L’inflation a presque doublé par rapport au trimestre précédent et atteint son niveau le plus élevé depuis un an. Ces deux données combinées indiquent, au moins, un léger environnement stagflationniste qui rendra la prise de décision politique difficile dans les semaines et les mois à venir.

Déceptions

Bien que les statistiques publiées ne soient pas un désastre, elles n’étaient évidemment pas prévues. L’économie américaine a, non seulement, défié les attentes, mais aussi la logique conventionnelle au cours des derniers mois. Elle a progressé à un rythme très solide que l’on pourrait croire impossible à atteindre aussi profondément et aussi longtemps après que la Réserve fédérale a commencé à relever les taux d’intérêt.

Les marchés s’attendaient à ce que la série de bons chiffres remontant à la mi-2022 se poursuive, les économistes estimant la croissance du PIB réel à 2,4 % et les chiffres de l’inflation à environ 3 %. Ce qu’ils ont obtenu, c’est essentiellement une croissance affaiblie et des pressions persistantes sur les prix.

En conséquence, les opérateurs de marchés à terme ont dû, une fois de plus, revoir leurs prévisions concernant les taux d’intérêt de la Fed. Après avoir commencé l’année en tablant sur au moins six réductions, le marché n’en attend plus qu’une, et une autre baisse implicite n’est plus à l’ordre du jour.

Rendez-vous l’été ?

Bien qu’il soit logique de penser que la Fed pourrait considérer un ralentissement de l’économie comme propice à un assouplissement de sa politique, les responsables examineraient probablement de plus près les données de l’indice des prix des dépenses de consommation personnelle, leur jauge d’inflation préférée.

La faiblesse provient principalement des stocks et des dépenses du gouvernement fédéral, alors que la croissance reprend dans les secteurs qui reflètent une meilleure confiance dans l’économie à venir. Un dollar fort, qui déplace les achats de biens d’équipement vers les producteurs étrangers, et les données reflètent une soustraction au PIB en raison de l’augmentation des importations nettes.

Dans ce chantier, la Fed n’a pas encore bougé car la probabilité d’une réduction des taux d’intérêt cette année continue de s’éloigner. Le ralentissement de la croissance sera un facteur clé dans les considérations de la Fed pour réduire les taux, et les détails du PIB du premier trimestre montrent une diminution du soutien de la relance budgétaire et des dépenses de biens plus faibles. Les réductions de la Fed auraient lieu cet été, avant que l’inflation n’ait ralenti de manière durable.

Impacts sur la Tunisie

En quoi toute cette histoire nous touche-t-elle ici en Tunisie ? L’impact est direct sur plusieurs aspects.

Le premier est qu’il serait peu orthodoxe pour la Banque Centrale de commencer à faire baisser ses taux avant que le mouvement soit entamé par les principales banques centrales, telles que la Fed.

La raison : veiller à garder le dinar stable, évoluant en harmonie avec le couple USD/EUR. Le dernier souhait des autorités monétaires est de perdre le contrôle de la monnaie nationale.

Le second est que plus les taux resteront élevés aux Etats-Unis, plus la demande mondiale stagnera. En regardant la balance commerciale tunisienne des trois premiers moins, nous constatons que les carnets de commandes des exportateurs industriels sont très moyens.

Le troisième est que les conditions actuelles sont favorables à nous, en tant que pays net importateur de pétrole, côté prix. Les perspectives de l’économie mondiales sont relativement sombres, ce qui réduit la demande et garde les prix du baril autour de l’hypothèse retenue par le budget de l’année 2023.

L’équilibre actuel permet donc à l’Etat de continuer à avancer prudemment sur le plan macroéconomique, en se focalisant sur le remboursement de sa dette et l’assainissement progressif de ses finances publiques. Par contre, il n’est pas particulièrement porteur pour un secteur privé qui a décidé de reporter ses projets d’investissements et de recrutement à de jours meilleurs.

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Bassem ENNAIFAR 26 avril 2024
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