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Leconomiste Maghrebin > Blog > Culture > Arts > Dak’Art 2024: Trois artistes tunisiens à la compétition officielle internationale de la 15ème édition de la Biennale de Dakar
ArtsCulture

Dak’Art 2024: Trois artistes tunisiens à la compétition officielle internationale de la 15ème édition de la Biennale de Dakar

L'Economiste Maghrébin
2023/12/22 at 3:19 PM
par L'Economiste Maghrébin 7 Min Lecture
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2010 à la Médina de Tunis, évoque la nécessité d’un changement politique radical dans son pays. A partir de 2011, elle  a réalisé diverses actions citoyennes dans l’espace public dont « Art dans la rue-Art dans le quartier », « De Colline en Colline », et « Bye Bye Bakchich Système ».
Phtoto : Biennale de Dakar
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Trois artistes tunisiens parmi cinquante-huit d’Afrique et de la Diaspora ont été sélectionnés pour l’exposition internationale de la Biennale de l’art africain contemporain Dak’Art qui se déroulera dans sa 15ème édition du 16 mai au 16 juin 2024. Il s’agit des artistes visuels Youness Ben Simane, Slimen Elkamel et Faten Rouissi. 
La sélection pour l’exposition internationale qui s’articulera autour de la thématique de cette édition « L’éveil, le sillage » (The wake), incarne l’extraordinaire créativité africaine, avec une diversité de médiums, de techniques et d’univers artistiques. Du dessin à la réalité virtuelle en passant par le son, la sculpture, ou encore la photographie, le processus de sélection pour l’exposition internationale a été guidé par un engagement en faveur de l’inclusivité, la recherche d’un équilibre qui transcende les frontières et célèbre la riche tapisserie des voix artistiques.  Le jury a sélectionné les 58 artistes retenus parmi un nombre record de près de 600 candidatures reçues.
Youness Ben Slimane : vidéaste, photographe, architecte
Né en 1992, Youness Ben Slimane a étudié à l’Ecole Nationale d’Architecture et d’Urbanisme (ENAU) de Tunis avant d’intégrer en 2020 Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains. Sa première exposition est présentée en 2018 dans le cadre de la plateforme culturelle Jaou Tunis. Il a participé à plusieurs expositions collectives et festivals, notamment au musée d’art contemporain de Skopje, au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, ou à l’Institut français de Tunisie (IFT). Son premier court-métrage, All Come From Dust a été sélectionné pour le Festival du film de Locarno, et a remporté le Tanit d’Or aux journées cinématographiques de Carthage.
 Sa formation d’architecte a une influence majeure sur son approche en tant qu’artiste. Travaillant par le biais du film, la vidéo, le dessin et l’installation, il établit un dialogue permanent entre l’architecture et les arts visuels, où différents médiums coexistent et reflètent leurs potentialités et leurs limites respectives.
Slimen Elkamel , artiste plasticien :
Né en 1983 à Mazouna dans la région de Sidi Bouzid en Tunisie, il a fait ses études à l’Institut Supérieur des Beaux-arts de Tunis.
L’art de Slimen Elkamel est nourri du récit populaire et de l’imaginaire rural accompagnant l’artiste depuis son enfance.  L’artiste crée des textes  poétiques et littéraires, tantôt mémoriels ou improvisés, qui nourrissent profondément son univers plastique. L’interaction entre écriture et peinture engendre alors un œuvre coloré et foisonnant où les multiples références au réel n’empêchent pas l’éclosion d’un imaginaire démesuré.
Du 4 février au 6 mars 2022, l’Institut du Monde Arabe (IMA), en coproduction avec la galerie La La Lande, lui a consacré  sa première exposition monographique « À cœur ouvert »,  retraçant ses différentes périodes artistiques depuis 2010, et présente sa nouvelle série, sur le thème de l’amour dans la société orientale.
« Eblouissant et poétique, le travail de Slimen Elkamel est un hommage éloquent à cette Tunisie qu’il aime tant. Le peintre y fait exploser sa culture en la mettant au service de grandioses conceptions. Narrateur de songes, l’artiste ne peint pas simplement l’histoire de son pays mais l’humanité envoûtante des civilisations qui l’ont traversé » écrit à ce propos Jack Lang.
Faten Rouissi , artiste protéiforme :
Née en 1967 à Tunis, elle présente un travail protéiforme faisant appel à différents mediums au gré de son ressenti immédiat, notamment la peinture, la sculpture, le textile mais aussi l’installation, la vidéo, la performance ou le happening.  Son travail a été visible dans de nombreuses expositions nationales et internationales, personnelles et de groupes.
​En parallèle et en continuité avec sa vie d’artiste, elle enseigne les arts depuis une trentaine d’années. Elle est actuellement Maître assistante de l’enseignement supérieur à l’ENAU, (Ecole Nationale d’Architecture et d’Urbanisme) à Sidi Bou Saïd, Tunis.
​Entre 2009 et 2010, Faten Rouissi a développé une observation critique de son entourage sociopolitique qu’elle a extériorisée dans une variété d’œuvres. Son installation « La Grande Lessive », réalisée dans le cadre de Dream City 2010 à la Médina de Tunis, évoque la nécessité d’un changement politique radical dans son pays.
A partir de 2011, elle  a réalisé diverses actions citoyennes dans l’espace public dont « Art dans la rue-Art dans le quartier », « De Colline en Colline », et « Bye Bye Bakchich Système ». Ces projets ont été réalisés dans diverses régions de la Tunisie, notamment Sidi Bou Saïd, Chenini Tataouine, Takrouna et Sousse. En 2013, le Badisches Landes Museum de Karlsruhe en Allemagne a fait acquisition d’une partie de son installation « La Grande Lessive ». Elle a reçu en 2014 le Prix de la Ville de Dakar au Sénégal dans le cadre de la 11ème Biennale de l’Art Africain Contemporain DAK’ART.
En 2019, Faten Rouissi a ouvert « ArtStudio », son Open Space de visibilité de l’ensemble de son travail.
Réservée à l’art contemporain d’Afrique et de sa diaspora, la biennale de Dakar qui a permis de révéler de nombreux artistes africains, est considérée comme un événement artistique majeur consacré aux arts visuels en Afrique avec la participation massive des artistes originaires d‘Afrique, de la diaspora et aussi des autres parties du monde ainsi que des professionnels de l’art.
Pour rappel, le Grand Prix Léopold Sédar Senghor de la Biennale de Dakar 2000 a été décerné à l’artiste plasticienne tuniso-suisse Fatma Charfi M’Seddi (1955-2018), première artiste femme à décrocher ce grand prix.
Avec TAP

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