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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Economie internationale > FITA 2020 : de la nécessité de saisir les opportunités en Afrique
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FITA 2020 : de la nécessité de saisir les opportunités en Afrique

L'Economiste Maghrébin
2020/02/04 at 4:41 PM
par L'Economiste Maghrébin 6 Min Lecture
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fita 2020 - l'économiste maghrebin
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La troisième édition du Financing Investment and Trade in Africa (FITA 2020) se tient les 4 et 5 février 2020. Après la réussite des deux précédentes éditions, voici que l’initiatrice de l’événement, Tunisia Africa Business Council (TABC), récidive.

Prenant la parole, lors de l’ouverture de la FITA 2020, le président du Conseil de la TABC affirme que le nombre de participants à l’événement est de 40 pays. L’événement est de taille puisqu’il coïncide avec le 5ème anniversaire de la TABC. Il couronne, ainsi, les cinq ans d’activité. L’intervenant affirme que TABC a mené plusieurs missions d’affaires en Afrique Francophone et en Afrique Anglophone.

Contents
La troisième édition du Financing Investment and Trade in Africa (FITA 2020) se tient les 4 et 5 février 2020. Après la réussite des deux précédentes éditions, voici que l’initiatrice de l’événement, Tunisia Africa Business Council (TABC), récidive.Pour une meilleure intégration régionaleLa mobilisation des fonds s’imposeEt si on parlait Private Equity au FITA 2020 ?

D’ailleurs, des forums sur l’enseignement et la formation professionnelle ont été organisés. Il déplore l’absence de la Tunisie sur le marché africain. Et ce, à cause de plusieurs facteurs à l’instar de l’absence d’un cadre juridique et l’absence de banques tunisiennes sur le continent. Pour lui, seul le secteur privé a pu conquérir l’Afrique.

De son côté, le membre de la commission d’honneur de TABC est revenu sur les spécificités du marché africain. Notamment pour l’entreprise tunisienne. Pour lui, le continent africain est un grand marché de consommation. D’ailleurs, le continent comptera 2 milliards d’habitants à l’horizon de 2050. Et ce, avec un rythme de croissance soutenu.

Pour une meilleure intégration régionale

De son côté, le ministre des Finances, Mohamed Ridha Chalgoum, a affirmé lors de son  intervention que l’intégration régionale de l’Afrique doit être prioritaire. D’ailleurs, tous les intervenants doivent agir dans cette perspective. Pour illustrer ses propos, il a cité un chiffre lourd de sens. L’intervenant affirme que la part des exportations intercontinentales ne représente que 14% du total des échanges internationaux. Par ailleurs, l’Union Européenne s’accapare de 30% de cesdits échanges.

Revenant sur la relation économique entre la Tunisie et l’Afrique, il affirme que les échanges entre la Tunisie et tout le continent Africain ne dépassent pas 10% du total des échanges commerciaux.

Mais comment enraciner encore cette intégration ? Pour le ministre, cela se fait à travers l’industrialisation. Afin de mener à bien l’objectif, l’intervenant souligne l’importance de lever les fonds et une grande mobilisation des fonds propres.

La mobilisation des fonds s’impose

Autre point qui fait défaut, il s’agit de revoir à la hausse le pourcentage alloué à l’investissement des pays africains. Et de proposer trois secteurs cruciaux et importants: il s’agit de l’infrastructure, de l’industrie pharmaceutique et de la logistique.

Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie (BCT), Marouane El Abassi, est revenu, lors de son intervention, sur la contribution de la BCT dans l’investissement en Afrique. Il affirme que l’institution a mobilisé plusieurs dispositifs. Et ce, pour soutenir les entreprises tunisiennes. Notamment celles qui veulent partir à la conquête du marché africain.

Ainsi, plusieurs démarches ont été entreprises et ce pour la réalisation de cet objectif.  Le gouverneur de la BCT cite, entre autres, quatre mesures. Parmi ces mesures, il s’agit de l’assouplissement des modalités de change, la participation à l’augmentation du capital de la Banque Africaine d’Exportation et d’Importation (Afreximbank). Par ailleurs, il rappelle, également, que la BCT a pris soin de signer un accord avec l’Afreximbank. L’objectif étant d’inciter les entreprises tunisiennes à aller de l’avant vers l’Afrique. Rappelons que la signature de l’accord date de 2019.

Et si on parlait Private Equity au FITA 2020 ?

Suite aux allocutions de bienvenue, la premier panel a braqué la lumière sur « Private Equity, moteur de croissance en Afrique ». Modéré par l’ancien ministre, Jaloul Ayed, chaque intervenant a donné son éclairage sur la question.

Le directeur général d’Africinvest-Tuninvest, Azyz Mbrarek, a affirmé le besoin de renforcer les ressources et les fonds propres. Et de souligner la nécessité de l’augmentation du nombre de souscripteurs dans le private equity. D’ailleurs, la démographie africaine est favorable à cette augmentation d’après lui. Il souligne, dans le même contexte, l’importance de se diriger vers le marché chinois. Il indique dans le même contexte qu’Africinvest-Tuninvest est la première qui a pu convaincre des caisses sociales africaines à y participer.

De son côté, la directrice de la CDC, Dr Boutheina Ben Yaghlane, affirme que son institution s’est mobilisée pour soutenir le Private Equity et soutenir les PME, et ce en participant à la création de plusieurs fonds. D’ailleurs, chaque année, la CDC réalise des études sur l’impact de sa participation dans les capitaux des startups.

Le représentant de la Société Financière Internationale en Tunisie, Georges Joseph Gorra, a affirmé l’augmentation des activités de l’entreprise dans le marché africain. Pendant les six mois de 2020, SFI a investi deux milliards de dollars.

Le président de l’ATIC, Mohamed Salah Frad, affirme lors de son intervention que Private Equity est en train de gagner du terrain en Tunisie.

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MARQUÉE: Actualité tunisie, BCT
L'Economiste Maghrébin 4 février 2020
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