En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Jérusalem, capitale d’Israël pour l’extrême-droite
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Médecine du futur : le Maghreb en ordre de bataille à Tunis
A ne pas manquer Bien-être Santé
grève
L’UGTT appelle à une grève générale le 21 janvier 2026
A la une Nation Société
La Tunisie parmi les destinations stars de 2026 : l’analyse de Lonely Planet
A ne pas manquer Conjoncture Economie
LF 2026 : la contribution sociale solidaire prolongée jusqu’en 2026
A ne pas manquer Conjoncture Economie
Marchés financiers
Marchés financiers : l’UE déploie un plan massif pour booster l’intégration
A ne pas manquer International Monde
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Chroniques > Jérusalem, capitale d’Israël pour l’extrême-droite
ChroniquesOpinions & Débat

Jérusalem, capitale d’Israël pour l’extrême-droite

Béligh Nabli
2018/11/09 at 11:26 AM
par Béligh Nabli 5 Min Lecture
Partager
Partager

A peine élu, le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, a confirmé sa volonté (déjà affichée durant la campagne électorale) de transférer l’ambassade du Brésil en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem.

Contents
Absence de solidarité arabe sur la question de JérusalemQuand la CIJ vient à la rescousseLa question de l’unité palestinienne

Un acte de rupture pour la diplomatie brésilienne, mais qui ne fait que confirmer la conjonction entre l’extrême-droite évangéliste et Israël. Ces sionistes chrétiens considèrent que la création de l’État d’Israël répond aux prophéties bibliques et prépare le retour de Jésus comme Christ en gloire de l’Apocalypse… Une croyance messianique défendue par des fondamentalistes religieux, dont les Palestiniens sont directement victimes. A telle enseigne que dans le monde occidental, le soutien de ces évangéliques (américains, brésiliens et autres) à Israël s’avère plus inconditionnel que sur celui de la diaspora juive…

Imitant le geste du président américain Donald Trump, cette décision a été immédiatement saluée. Et par le conseiller de la Maison-Blanche à la Sécurité nationale, John Bolton et par Benjamin Nétanyahou. « Je félicite mon ami le président élu du Brésil Jair Bolsonaro pour son intention de déplacer l’ambassade brésilienne à Jérusalem, un pas historique, juste et enthousiasmant », a déclaré le Premier ministre israélien.

Absence de solidarité arabe sur la question de Jérusalem

Silence radio du côté des grandes capitales arabes. L’absence de cohésion politique et la prévalence des logiques d’intérêts nationaux sur le principe de solidarité arabe empêchent toute dynamique politique unitaire en faveur du peuple palestinien. La focalisation sur l’ennemi iranien détourne les monarchies du Golfe de tout principe de solidarité et conduit même à une banalisation des relations avec l’ennemi d’hier.

Après l’annexion de la partie arabe de la ville, la Knesset a déclaré– en décembre 1980– Jérusalem « réunifiée » comme « capitale » (« éternelle et indivisible ») de l’État d’Israël. Une revendication rejetée par la majeure partie de la communauté internationale, à l’exception notable désormais des États-Unis, qui s’oppose frontalement à la volonté des Palestiniens de faire de Jérusalem-Est la capitale de leur hypothétique futur État. Ces prétentions antagonistes s’inscrivent dans l’histoire même du conflit israélo-arabe et israélo-palestinien.

Quand la CIJ vient à la rescousse

L’Assemblée générale a alors saisi la Cour internationale de Justice (CIJ) pour obtenir son avis sur les conséquences, au regard du droit international, de l’édification d’un mur. Ainsi, dans son avis consultatif du 9 juillet 2004, la CIJ a conclu à l’illégalité du mur de séparation, car il concrétise une annexion de territoires occupés. Et son emplacement ne peut être justifié par des raisons de sécurité nationale. Dans son argumentaire, la Cour précise que « l’édification du mur qu’Israël, puissance occupante, est en train de construire dans le territoire palestinien occupé, y compris à l’intérieur et sur le pourtour de Jérusalem-Est, et le régime qui lui est associé, sont contraires au droit international. » Et de conclure : « Israël est dans l’obligation de réparer tous les dommages causés par la construction du mur dans le territoire palestinien occupé, y compris à l’intérieur et sur le pourtour de Jérusalem-Est. »…

La question de l’unité palestinienne

Faute d’accord de paix israélo-palestinien, la réconciliation inter-palestinienne doit enfin se concrétiser au-delà des accords de façade. Comment créer un État palestinien en l’absence d’unité palestinienne ? Plus largement, l’avenir politique des Palestiniens passe par une « double paix » : extérieure, avec les Israéliens, et intérieure, entre le Fatah (à la tête de l’Autorité palestinienne) et le Hamas (au pouvoir à Gaza). Ces deux éléments sont-ils contradictoires– comme l’affirme Benyamin Netanyahou– ou complémentaires, comme nous le pensons ?

En attendant que l’Histoire tranche, il revient aux responsables palestiniens d’être à la hauteur des espoirs de leur peuple, fatigué par les trahisons politiques qui ont marqué son histoire moderne. Or pour l’instant, ils ne sont pas à la hauteur…

Articles en relation

L’état de santé de Donald Trump au cœur de spéculations persistances outre-Atlantique 

Les prix du pétrole augmentent, le Brent proche des 63 dollars

Trump a déjà en tête le nom du futur président de la Fed 

Rencontre Poutine-Witkoff : « Pas de compromis » sur les territoires occupés par la Russie

Liban : Washington exige la restitution d’une bombe non explosée !

MARQUÉE: Belight Nabli, Brésil, Extrême droite, Israël, Jérusalem, Palestiniens, trump
Béligh Nabli 9 novembre 2018
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Microfinance : hausse de 14,1% des microcrédits accordés à fin juin 2018
Article suivant Lobna Jeribi : « L’administration fiscale doit être renforcée en capacités »
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?