
Par ailleurs, il a annoncé que le ministère des Finances, celui de l’Industrie et du Commerce planchent ensemble sur la préparation d’une formule afin que les prix des hydrocarbures en Tunisie soient indexés sur le prix du baril de pétrole fixé sur les marchés internationaux.
Je commence à croire qu’il y a du pétrole en Tunisie et qu’il y a « anguille sous roche ».
En effet, on peut se poser la question et considérer que le refus de réduction des prix des carburants à la pompe, amplement justifié d’ailleurs par la baisse spectaculaire des cours mondiaux, ne servirait-il pas à couvrir, grâce à des « marges » nettement améliorées, les pertes enregistrés sur nos « ventes » de pétrole brut ?