La participation de la sélection de Tunisie à la coupe arabe de la FIFA (Qatar 2021) s’est soldée par une finale perdue par Les aigles de Carthage devant l’Algérie (2-0). Mais également par des constats positifs et d’autres moins bons.
Il faudra les prendre en compte en prévision des prochaines échéances dont la CAN du Cameroun dans quelques semaine. Ainsi que pour le tour décisif des qualifications africaines pour le mondial 2022.
D’une manière générale, les coéquipiers de Bilel Laifa restent sur une note positive en général. Du fait d’avoir passé le cap des demi-finales et en prétendant au sacre en disputant la finale.
Outre la belle prestation livrée par l’équipe nationale de football tout au long de la compétition, le rendement est allé crescendo en termes de qualité. Et les dix millions de dinars que la Fédération tunisienne a touchés devraient la renforcer. De plus, la coupe arabe fut l’occasion de découvrir certains éléments qui feront certainement l’avenir de la sélection.
On citera, entre autres, le jeune milieu de terrain des « Red Devils » qui, à 18 ans à peine, a su retenir l’attention et faire parler de lui comme futur meneur de jeu de l’équipe de Tunisie.
La découverte de deux ailiers modernes
Autre belle surprise, la découverte de deux ailiers modernes dignes de ce nom; Mohamed Drager à droite et Mohamed Amine Ben Hmida à gauche, tous deux actifs tant au niveau de la récupération que de la construction offensive.
Il va, par ailleurs, sans dire qu’une évaluation technico-tactique de la participation tunisienne à la coupe arabe est requise pour diagnostiquer les lacunes et amorcer des réformes.
Toutefois, c’est un fait, au même titre que la coupe arabe faisait guise de bonne répétition pour le mondial prévu dans moins d’un an, la participation tunisienne a permis de déterminer les faiblesses à pallier en prévision des prochaines échéances importantes.
Avec TAP
