Accusés d’avoir assassiné les martyrs de la Révolution dans le Grand -Tunis et dans des gouvernorats du Nord et du Sahel, le président déchu Ben Ali, son ministre de l’Intérieur Rafik Haj Kacem, le directeur général de la sécurité présidentielle, Ali Seriati ainsi que d’autres anciens cadres sécuritaires encourent la peine maximale.
Le ministère public militaire les a également accusés d’être impliqués dans des homicides volontaires pour étouffer des mouvements pacifiques, et ce, en ayant recours à l’utilisation illégitime et anarchique d’armes.