« En comparaison des pays industrialisés, je pense que le secteur bancaire tunisien restera dominant. L’effort du côté de la Bourse est tributaire de notre capacité à retrouver un marché obligataire dynamique, sinon on restera dans une logique de secteur bancaire. C’est-à-dire qu’il y a un effort à faire du côté de la banque et un autre du côté réglementaire pour faire bouger les choses dans le sens d’une économie de marché…»
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